Réflexions sur la colonie de Saint-Domingue, ou, Examen approfondi des causes de sa ruine, et des mesures adoptées pour la rétublir: terminées par l'exposé rapide d'un plan d'organisation propre à lui rendre son ancienne splendeur : adressées au commerce et aux amis de la prospérité nationale, ÇáãÌáÏ 1Chez Garnery, libraire, rue Serpente, no. 17, 1796 |
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abus accablés anéantir ardens asyle avaient avantages besoin blancs bler bonheur brigands Brissot canne à sucre capables chefs climat coloniale commerce national conserver constitution française convention nationale crimes cruellement cultivateur cupidité d'après d'hommes désastres despotisme dévastation dis-je Domingue Duparquet dûrent efforts éloigné enfans ennemis esclavage esclaves Espagnols espé espérances essen établis établissemens état euro Européens eût évènemens facile Fermont féroces flatter fond force forfaits funeste fureur général de brigade goûts gouvernement guerre habitans haîne hommes insensiblement insépa intérêts j'ai joug jouissances l'agriculture l'esclavage l'Europe l'univers Laveaux liberté lois long-tems maîtres malheurs manufactures marine militaire maux ment métropole mingue misère moyens mulâtres multitude nations nécessité noirs nombre objet opposées pable passions patrie peuplade peuples politique possession pré premier pressans principes propres propriété prospérité question remplir respect ressources reste richesses rien ruine sage Saint Saint-Do Santhonax sentiment serait seul soin succès sur-tout systême tems tion tranquillité travail vaste vérité Ïæ Ïæ
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ÇáÕÝÍÉ 3 - Viselli : 105 est modus in rebus, sunt certi denique fines, quos ultra citraque nequit consistere rectum.þ
ÇáÕÝÍÉ 76 - Quand un esclave est affranchi , il ne passe pas dans la classe des citoyens, mais dans celle des domiciliés, qui tient à cette dernière par la liberté, et à celle des esclaves par le peu de considération dont elle jouit. Les domiciliés, au nombre d'environ dix...þ
ÇáÕÝÍÉ 103 - Je demande si l'on croit qu'alors le change, « vis-à-vis les nations étrangères, ne deviendrait pas « effrayant pour les bons citoyens. Je demande enfin si « plus d'un million d'hommes, sans travail, sans pain, « sans espérance, au milieu de la détresse publique, ne « deviendrait pas le germe de tous les troubles ? « S'il est possible de prévoir quel usage...þ
ÇáÕÝÍÉ 275 - ... la partie espagnole de Saint-Domingue, cédée à la France par le traité de Bâle.þ
ÇáÕÝÍÉ 102 - ... vous n'auriez pas de colonies, presque toute « votre navigation commerciale tomberait, que dès lors « vous n'auriez plus de moyens de former des matelots « pour la marine militaire, et que n'ayant plus de marine « militaire vous n'auriez plus de commerce extérieur, de « commerce maritime, parce que vous n'auriez plus de « moyens pour le protéger et le défendre.þ
ÇáÕÝÍÉ 104 - Français sont privés dans la métropole (applaudi), je demande si de pareils intérêts sur lesquels les hommes de couleur, sont si froids dans les colonies, peuvent résister à l'intérêt immense de la patrie. Depuis que les nouvelles de l'effet du...þ
ÇáÕÝÍÉ 103 - Croît-on alors que l'impôt pourrait aisément « se percevoir ; croît-on que le papier qui repose sur la « confiance ne tomberait pas à l'instant dans le plus grand « discrédit. Je demande si l'on croit qu'alors...þ
ÇáÕÝÍÉ 103 - ... s'il souffre, il veut changer le régime établi ) ; si , dis-je , le peuple agité par ses douleurs se plaignant des...þ
ÇáÕÝÍÉ 35 - Les uns baisoient les mains des sénateurs, d'autres les appeloient tout haut les pères du peuple , et tous protestaient qu'ils étoient prêts à répandre jusqu'à la dernière goutte de leur sang pour la patrie , qu'ils regardoient comme une mère libérale et généreuse envers ses enfants.þ
ÇáÕÝÍÉ 154 - En France , l'agriculture extrait les matières premières du sein de la terre ; elle les cultive et les fait croître : la manipulation des manufactures les divise et leur donne le dernier degré de préparation ; mais celle-là conserve le premier rang et le premier degré d'importance et d'utilité. Le travail des manufactures n'est qu'une opération secondaire, et dont on pourrait à la rigueur se passer. Combien n'y at-il pas de contrées en...þ