Œuvres, ÇáãÌáÏ 13Giguet et Michaud, 1811 |
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abeilles acanthi æquor æthera aliæ apibus arbres arbrisseaux arva atque Bacchus bois brebis brillant brûlants Buffon Cérès champs char cieux circum cire coeli Columelle coursier cùm Cyrène dieux différentes domté eaux Émathie essaims etiam Eurydice fécondes feuillage fleurs fleuve flots flumina forêts foule froid fruits Géorgiques grains guérets hæc herbas Hésiode hexagones hiems Hinc ille illum ingenti inter ipsa ipse j'ai jour l'agriculture l'air l'hiver l'onde labor laboureur langue latè Latins littore malè miel moissons morceau namque nature neque nocte nourrit Nunc Nymphes omnes Omnia ondes orbem pecori Pélops peuple plaines plante Pline poëme poésie poète préceptes primùm printemps propolis quæ quæque quàm Quid quoque Romains roule ruche sæpè sese seulement sillons soleil sort sylvis tantùm taureau Taygète tecta terræ terre testudine texte Théophraste Thessalie Thrace tibi troupeaux vallons Varron verò vigne Virgile Virgile parle voit zéphyrs
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ÇáÕÝÍÉ 239 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...þ
ÇáÕÝÍÉ 155 - Felix qui potuit rerum cognoscere causas, Atque metus omnes, et inexorabile fatum Subjecit pedibus, strepitumque Acherontis avari.þ
ÇáÕÝÍÉ 46 - Dryadesque puellae: munera vestra cano); tuque, o, cui prima frementem fudit equum magno tellus percussa tridenti, Neptune; et cultor nemorum, cui pinguia Ceae ter centum nivei tondent dumeta iuvenci; 1 5 ipse nemus linquens patrium saltusque Lycaei Pan, ovium custos, tua si tibi Maenala curae, adsis, o Tegeaee, favens...þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - Et, cum exustus ager morientibus aestuat herbis, Ecce supercilio clivosi tramitis undam Elicit ? illa cadens raucum per levia murmur Saxa ciet, scatebrisque arentia temperat arva.þ
ÇáÕÝÍÉ 239 - ... il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur ; il partage aussi ses plaisirs ; à la chasse, aux tournois, à la course, il brille, il étincelle ; mais docile...þ
ÇáÕÝÍÉ 181 - La tragédie, informe et grossière en naissant, N'était qu'un simple chœur, où chacun, en dansant Et du dieu des raisins entonnant les louanges, S'efforçait d'attirer de fertiles vendanges. Là, le vin et la joie éveillant les esprits, Du plus habile chantre un bouc était le prix. Thespis fut le premier qui, barbouillé de lie...þ
ÇáÕÝÍÉ 25 - ... abandonné les termes qui peignent leurs opérations. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides, d'avoir recours à la lenteur des périphrases ; enfin d'être long, de peur d'être bas ; de sorte que le destin de notre langue ressemble assez à celui de ces gentilshommes ruinés, qui se condamnent à l'indigence de peur de déroger.þ
ÇáÕÝÍÉ 126 - Media fert tristis sucos tardumque saporem felicis mali, quo non praesentius ullum, pocula si quando saevae infecere novercae, miscueruntque herbas et non innoxia verba, auxilium venit ac membris agit atra venena.þ
ÇáÕÝÍÉ 106 - D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre ; Les flots en ont frémi , l'air en est ébranlé , Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure , Dont le son lent et sourd attriste la nature.þ