Précis historique de la Révolution française: Convention nationale, ÇáãÌáÏ 1Treuttel et Würtz, 1821 |
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10 août accusateurs annonce la prise arrestation arrêtés assemblées Autrichiens avaient barre Barrère bientôt c'était Charlotte Corday ci-devant citoyens Clairfait Collot-d'Herbois comité de salut commissaires commission des douze commune complices conspirateurs constitution constitution de 1793 convention décrète convention nationale crime Custine d'arrestation d'Orléans Danton déc décret d'accusation Défaite demande départemens députés Dumouriez ennemis féroce fév force armée fruct fureur girondins Guadet guerre jacobins janv Jemmapes jour jugement de Louis juill juin Kellermann l'armée l'assemblée Léonard Bourdon Lepelletier liberté long-temps Louis XVI Lyon madame Roland Malesherbes mande Marat Marseille massacre membres ment mille hommes ministre montagne mort nationale nommé ordonne Panthéon patrie peuple poste présenter président prince de Cobourg Prusse Prussiens Rapport du décret rebelles représentans république révolution Robespierre s'était salut public séance sections sera seront seul Supplice sûreté générale therm tion Toulon tribunal révolutionnaire tribune troupes tyrans vend vention Vergniaud voix
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ÇáÕÝÍÉ 128 - Citoyen président, j'ignore si la Convention donnera à Louis XVI un conseil pour le défendre, et si elle lui en laissera le choix : dans ce cas-là je désire que Louis XVI sache que s'il me choisit pour cette fonction je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la...þ
ÇáÕÝÍÉ 278 - ... remords, et, pour ainsi dire, en présence de « la mort même ; ce calme et cette abnégation sublimes « sous un rapport ne sont pas dans la nature: ils ne € peuvent s'expliquer que par l'exaltation du fanatisme « politique qui lui a mis le poignard à la main. Et « c'est à vous, citoyens jurés, à juger de quel poids « doit être cette considération morale dans la balance « de la justice. Je m'en rapporte à votre prudence.þ
ÇáÕÝÍÉ 128 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde : je lui dois le même service lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.þ
ÇáÕÝÍÉ 279 - J'ai vengé bien d'innocentes victimes, j'ai prévenu bien d'autres désastres. Le peuple, un jour désabusé, se réjouira d'être délivré d'un tyran. Si j'ai cherché à vous persuader que je passais en Angleterre, c'est que j'espérais garder l'incognito, mais j'en ai reconnu l'impossibilité.þ
ÇáÕÝÍÉ 59 - ... choses humaines. Gardons quelques larmes pour des calamités plus touchantes. Pleurez cent mille patriotes immolés par la tyrannie ; pleurez nos citoyens...þ
ÇáÕÝÍÉ 60 - N'avez-vous pas aussi des frères, des enfans, des épouses à venger? La famille des législateurs français, c'est la patrie, c'est le genre humain tout entier, moins les tyrans et leurs complices. Pleurez donc, pleurez l'humanité abattue sous leur joug odieux. Mais consolez-vous...þ
ÇáÕÝÍÉ 205 - ... l'attendrait à Doumet. Il venait de rencontrer sur le grand chemin une colonne de trois bataillons de volontaires qui marchaient sur Condé, avec leur bagage et leur artillerie. Étonné de...þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - C'était un homme qui s'était fait connaître d'abord par une production frivole où beaucoup d'esprit et d'imagination se mêlait à la licence de quelques tableaux. Depuis il avait fait des affiches contre la cour; il en faisait aujourd'hui contre les jacobins. Il avait de l'ardeur et de la sincérité dans le caractère, avec un extrême penchant à la défiance; mais aujourd'hui l'objet de ses soupçons était Robespierre.þ
ÇáÕÝÍÉ 24 - Oui, je le déclare, doulou« reusement affecté des crises violentes « dont ma patrie était agitée , la voyant ;. prête à s'engloutir sous ses ruines , je < n'ai vu qu'un seul moyen de la sauver, « la dictature, et je l'ai proposée; mais « je voulais qu'elle fût déposée dans les « mains d'un homme probe et fort de «caractère, qui pût, avec tranquillité « et justice, faire tomber la tête des « coupables. Déjà cent mille patriotes « sont morts victimes de la scélératesse, «...þ
ÇáÕÝÍÉ 28 - ... elle s'assemblait le soir, et continuait fort avant dans la nuit ses délibérations. Quelques lampes éclairaient faiblement les voûtes de cette enceinte monacale. On était presque contraint de s'y présenter avec de sordides vêtemens.þ