Je sais que l'amitié vous les rendoit douces; mais je crains bien que le corps ne paie un peu les plaisirs du cœur, et que l'un ne fasse quelquefois souffrir l'autre. Pour moi , je suis déjà , par la pensée , établi dans mon château , pour n'en... Oeuvres complètes - ÇáÕÝÍÉ 175ÈæÇÓØÉ Jean-Jacques Rousseau - 1832ÚÑÖ ßÇãá - áãÍÉ Úä åÐÇ ÇáßÊÇÈ
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1818 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 418
...fatigues d'hier. Je sais que l'amitié vous les rendoit douces ; mais je crains bien que le corps ne paye un peu les plaisirs du cœur, et que l'un ne fasse quelquefois souffrir l'autre. Pour moi , je sui* déjà , par la pensée , établi dans mon château pour n'en plus sortir que quand vous habiterez... | |
| I︠U︡riĭ Chernichenko - 1818 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 458
...fatigues d'hier. Je sais que l'amitié vous les rendoit douces ; mais je crains bien que le corps ne paye un peu les plaisirs du cœur, et que l'un ne fasse quelquefois souffrir l'autre. Peur moi, je suis déjà, par la pensée, établi dans mon château pour n'en plus sortir que quand... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1820 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 486
...fatigues d'hier. Je sais que l'amitié vous les rendoit douces ; mais je crains bien que le corps ne paye un peu les plaisirs du cœur, et que l'un ne fasse quelquefois souffrir l'autre. Po»r moi, je suis déjà, par la pensée, établi dans mon château pour n'en plus sortir que quand... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 476
...des nouvelles de votre santé. J'irai vous voir ce soir ou demain. LETTRE CIIL AI,A MÊME. Mars 1y56. Voici de la musique que j'ai retrouvée encore. Ne...fasse quelquefois souffrir l'autre. Pour moi, je suis déja, par la pensée, établi dans mon château, pour n'en plus sortir que quand vous habiterez le... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1826 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 560
...Faites-moi dire comment vous vous trouvez Je vos fatigues d'hier. Je sais que l'amitié vous les l'endoit douces ; mais je crains bien que le corps ne paie...sortir que quand vous habiterez le vôtre. Bonjour, ma ,4. bonne amie. Ne croyez pas pourtant que je veuille employer ce mot en formule; il ne faut pas qu'il... | |
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1863 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 538
...fatigues d'hier. Je sais que l'amitié vous les rendoit douces; mais je crains bien que le corps ne paye un peu les plaisirs du cœur, et que l'un ne fasse quelquefois soulïrir l'autre. Pour moi, je suis déjà, par la pensée, établi dans mon château pour n'en plus... | |
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1865 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 518
...fatigues d'hier. Je sais que l'amitié vous les rendoit douces; mais je crains bien que le corps ne paye un peu les plaisirs du cœur, et que l'un ne fasse...pourtant que je veuille employer ce mot en formule; il ne faul pas qu'il soit écrit, mais gravé ; et vous y donnez tous les jours quelque coup de burin qui... | |
| Louise Tardieu d'Esclavelles Épinay (marquise d').) - 1876 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 526
...fatigues d'hier. Je sais que l'amitié vous les rendoit douces ; mais je crains bien que le corps ne paye un peu les plaisirs du cœur, et que l'un ne fasse...croyez pas pourtant que je veuille employer ce mot eu formule; il ne faut pas qu'il soit écrit, mais gravé; et vous y donnez tous les jours quelque... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1924 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 432
...l'amitié vous les rendoit douces mais je crains bien que le corps ne paye un peu les plaisirs du coeur et que l'un ne fasse quelquefois souffrir l'autre. Pour moi, je suis déja par la pensée établi dans mon château pour n'en plus sortir que quand vous habiterez le vôtre.... | |
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