La Henriade, poëme: Éd. stéréotype d'après le procédé de Firmin DidotChez F. Didot frères, 1833 - 239 من الصفحات |
طبعات أخرى - عرض جميع المقتطفات
عبارات ومصطلحات مألوفة
affreux assassins autels bataille bataille d'Ivry bataille de Dreux Biron Bourbon bras brave bruit carnage Catherine de Médicis Charles Charles IX chef ciel cieux cœur Coligny combats coups cour courage courroux crime cruelle d'Aumale d'horreur d'Ivry déja desseins Dieu discorde duc de Guise duc de Mayenne Elisabeth enfants ennemis Essex faible faiblesse fatal fils foudre François de Guise frere fureur gloire guerre Henri Henri III Henri IV héros heureux homme humains Jacques Clément Jeanne d'Albret jeune jour l'amiral l'amour l'église l'univers lieux ligue ligueurs lois long-temps Louis Louis XIII lumiere main maître malheureux maréchal Maugiron monstre Mornay mort mortels mourut Navarre NOTES DU CHANT par-tout parlement parricide pere peuple plaisirs pleurs poëme porte Quélus rage regne reine religion remparts rois Rome s'avance sacrés saint Saint-Barthélemi sang sanglant secours secret seul soldats soudain temple terre tête trembler trépas trône Turenne tyrans vainqueur Valois venger vertu victoire voit voix vole yeux
مقاطع مشهورة
الصفحة 140 - D'un tendre hymen à peine il goûtait les appas ; Favori des amours il sortait de leurs bras ; Honteux de n'être encor fameux que par ses charmes, Avide de la gloire , il volait aux alarmes. Ce jour, sa jeune épouse, en accusant le ciel, En détestant la ligue et ce combat mortel...
الصفحة 54 - Ses serviteurs sanglants, dans la flamme étouffés ; Les meurtriers en foule au carnage échauffés...
الصفحة 55 - A cet air vénérable, à cet auguste aspect, Les meurtriers surpris sont saisis de respect; Une force inconnue a suspendu leur rage. « Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans; Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne. J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous.
الصفحة 126 - Par d'invisibles nœuds en ces lieux prisonnière : Sous un joug inconnu, que rien ne peut briser, Dieu sait l'assujettir sans la tyranniser ; A ses suprêmes lois d'autant mieux attachée, Que sa chaîne à ses yeux pour jamais est cachée ; Qu'en obéissant même elle agit par son choix, Et souvent aux destins pense donner des lois. Mon cher fils...
الصفحة 54 - Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. Soudain de mille cris le bruit épouvantable Vient arracher ses sens à ce calme agréable.
الصفحة 45 - Divisés d'intérêts, réunis par la loi ; Tous trois, membres sacrés de ce corps invincible, Dangereux à lui-même, à ses voisins terrible ; Heureux, lorsque le peuple, instruit dans son devoir, Respecte, autant qu'il doit, le souverain pouvoir; Plus heureux, lorsqu'un roi, doux, juste, et politique, Respecte, autant qu'il doit, la liberté publique ! Ah ! s'écria Bourbon, quand pourront les Français Réunir, comme vous, la gloire avec la paix?
الصفحة 173 - C'est vous qui dans son sang avez trempé mes mains : Que la mère et le fils vous servent de pâture : Craignez-vous plus que moi d'outrager la nature ? Quelle horreur à mes yeux semble vous glacer tous ? Tigres , de tels festins sont préparés pour vous.
الصفحة 106 - L'un , des faveurs" de Rome esclave ambitieux , S'adresse au légat seul , et devant lui déclare Qu'il est temps que les lis rampent sous la tiare ; Qu'on érige à Paris ce sanglant tribunal , Ce monument...
الصفحة 157 - Le moissonneur ardent, qui court avant l'aurore Couper les blonds épis que l'été fait éclore , S'arrête, s'inquiète et pousse des soupirs; Son cœur est étonné de ses nouveaux désirs.
الصفحة 144 - Tels, au fond des forêts, précipitant leurs pas, Ces animaux hardis, nourris pour les combats, Fiers esclaves de l'homme, et nés pour le carnage...