Recherches sur les causes qui ont empêché les François de devenir libres, et sur les moyens qui leur restent pour acquérir la libertéGattey, 1792 |
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
abus assemblées auroient autorité avantages avoient avoit barons bles cahiers chambre Charles VIII citoyens classes clergé consentement constitution convocation convoqués couronne Dauphiné déclarer délibération par ordres délibération par têtes députés députés des communes descendans devoient devoit différens dignité double représentation ecclésias emplois états états provinciaux états-géné états-généraux de 1789 étoient étoit eût factieux faisoient falloit féodales formes franc-fief fussent généraux gentils gentilshommes gouvernement Grégoire de Tours hommes impôts inconvéniens intérêts justice l'autorité royale liberté loix long-tems Louis XVI membres ment ministres monarchie monarque Montesquieu moyens n'auroit n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit nation nobilitas nobles de naissance noblesse nombre ordonnances pairs parlemens parlement d'Angleterre peuple plébéïens populace pouvoient pouvoir prérogatives prince privilèges provinces publique puissance représentans réunion des ordres révolution Robert le Coq rois Romains royaume seigneurs de fiefs seroient seroit seul subsides Suède suffrages sujets systême tems tiers-état tion titre de nobles toyens tribunaux troisième ordre trône vouloient vouloit
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 4 - États modérés : elle n'y est que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir ; mais c'est une expérience éternelle , que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. Qui le dirait ! la vertu même a besoin de limites. Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir.þ
ÇáÕÝÍÉ 296 - Seront nommément exceptées des affaires qui pourront être traitées en commun, celles qui regardent les droits antiques et constitutionnels des trois ordres, la forme de constitution à donner aux prochains États généraux, les propriétés féodales et seigneuriales, les droits utiles et les prérogatives honorifiques des deux premiers ordres.þ
ÇáÕÝÍÉ 295 - du clergé ayant pris la délibération de se réunir » pour la vérification des pouvoirs, nous venons, » vous en prévenir, et vous demander sa place þ
ÇáÕÝÍÉ 296 - Majesté, ayant exhorté, pour le salut de l'État, les trois ordres à se réunir, pendant cette tenue d'états seulement, pour délibérer en commun sur les affaires d'une utilité générale, veut faire connaître ses intentions sur la manière dont il pourra y être procédé.þ
ÇáÕÝÍÉ 263 - ... le peuple reprit les droits imprescriptibles de la nature. Mais si les intérêts de la nation se confondent essentiellement avec ceux du monarque , n'en serait-il pas de même des intérêts de chaque classe de citoyens en particulier ? et pourquoi voudraiton établir, entre les différens membres d'une société politique , au lieu d'un rang qui les distingue , des barrières qui les séparent...þ
ÇáÕÝÍÉ 4 - La liberté politique ne se trouve que dans les gouvernements modérés. Mais elle n'eSt pas toujours dans les États modérés; elle n'y eSt que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir; mais c'eSt une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir eSt porté à en abuser; il va jusqu'à ce qu'il...þ
ÇáÕÝÍÉ 286 - ... prêt à verser son sang et à prodiguer ses biens pour soutenir les vrais principes de la monarchie. • Dès le premier instant où les instructions que ses députés...þ
ÇáÕÝÍÉ 232 - ... obtenu en Dauphiné, par la seule puissance de la justice et de la raison, je vois comment j'ai pu croire que les Français méritaient d'être libres. Les dernières classes du peuple attendaient, dans le calme, le résultat de nos travaux. Jamais la multitude n'influa sur nos assemblées. Les spectateurs se tinrent toujours dans les bornes de la décence, et les suffrages furent parfaitement libres. Le clergé et la noblesse se montraient généreux, les membres des communes modérés.þ
ÇáÕÝÍÉ 1 - ... liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir, et .à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir. Il faut se mettre dans l'esprit ce que c'est que l'indépendance, et ce que c'est que la liberté. La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent ; et , si un citoyen pouvoit faire ce qu'elles défendent , il n'auroit plus de liberté , parce' que les autres auroient tout de même ce pouvoir.þ
ÇáÕÝÍÉ 290 - démarche hardie qui tranchait des questions jusque-là indécises, et changeait l'assemblée des états en assemblée du peuple ('), » elle vota une adresse au roi et à la nation , et tous ses membres tirent le serment solennel de « remplir avec zèle et fidélité les fonctions dont ils étaient chargés. » Puis elle arrêta que les contributions , n'ayant pas été consenties par la nation, étaient illégales ; mais qu'elles continueraient provisoirement à être perçues comme par le passé,...þ