A vingt ans, des peines profondes m'obligèrent de renoncer au chant, parce que ma voix me faisait pleurer; mais la musique roulait dans ma tête malade, et une mesure toujours égale arrangeait mes idées, à l'insu de ma réflexion. « Je fus forcée... Portraits contemporains - الصفحة 100بواسطة Charles Augustin Sainte-Beuve - 1889عرض كامل - لمحة عن هذا الكتاب
| 1860 - عدد الصفحات: 396
...profondes m'obligèrent de renoncer au chant, parce que ma voix me faisait pleurer ; mais la musique roulait dans ma tête, malade, et une mesure toujours...délivrer de ce frappement fiévreux, et l'on me dit que c'élait une élégie (le Pressentiment).» Le 4 septembre 1817. M"' Desbordes épousait à Bruxelles... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1836 - عدد الصفحات: 344
...profondes m'obligèrent de renon» cer au chant, parce que ma voix me faisait pleurer; mais » la musique roulait dans ma tête malade , et une mesure " toujours égale arrangeait mes idées , à l'insu de ma ré» flexion. • » Je fus forcée de les écrire pour me délivrer de ce frappe. ment fiévreux,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1836 - عدد الصفحات: 520
...vous pûtes montrer à la trace sa « chant, parce que ma voix me faisait pleurer ; mais la musique roulait « dans ma tête malade , et une mesure toujours égale arrangeait mes « idées, à l'insù de ma réflexion. « Je fus forcée de les écrire pour me délivrer de ce frappement fié«... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1841 - عدد الصفحات: 544
...montrer à la trace sa « chant , parce que ma voix me faisait pleurer ; mais la musique roulait n dans ma tête malade , et une mesure toujours égale...de les écrire pour me délivrer de ce frappement Gé« vreux , et l'on me dit que c'était une élégie ( le Pressentiment ). « H. Alibert , qui (oignait... | |
| Louis Désiré Véron - 1843 - عدد الصفحات: 730
...profondes m'obligèrent de renoncer au chant, parce que ma voix me faisait pleurer; mais la musique roulait dans ma tête malade, et une mesure toujours...dit que c'était une élégie (le Pressentiment). » On lui conseilla alors d'écrire, et elle écrivit. C'est ainsi que son premier volume fut composé... | |
| Louis Désiré Véron - 1843 - عدد الصفحات: 712
...profondes m'obligèrent de renoncer au chant, parce que ma voix me faisait pleurer; mais la musique roulait dans ma tête malade, et une mesure toujours égale arrangeait mes idées ù l'insu de ma réflexion.—Je fus forcée de les écrire pour me délivrer de ce frappement fiévreux,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1846 - عدد الصفحات: 560
...profondes m'obligèrent de renoncer au « chant, parce que ma voix me faisait pleurer ; mais la musique roulait dans ma tête malade, et une mesure toujours égale arrangeait mes « idées, àl'insu de ma réflexion. « Je fus forcée de les écrire pour me délivrer de ce frappement fié«... | |
| Alexandre Dumas - 1852 - عدد الصفحات: 676
...présent, et, dans l'intérêt de mon père, je retournai en province. sique roulait dans ma tète malade, et Une mesure toujours égale arrangeait mes idées à l'insu de mes réflexions. » Je fus forcée de les jeter sur le papier pour me délivrer de ce frappement fiévreux,... | |
| A. Roche - 1853 - عدد الصفحات: 720
...roulait dans ma tète malade, dit-elle, et une mesure toujours égale arrangcaitmes idées, àl'insu de ma réflexion. Je fus forcée de les écrire, pour me délivrer de ce frappement fiévreux, et l'nii me dit que c'était une élégie. Je continuai d'écrire sans avoir rien lu, ni rien appris,... | |
| 1860 - عدد الصفحات: 672
...pièce fut une effusion du trop-plein de son âme. « La musique, écrivait-elle à M. SainteBeuve, roulait dans ma tête malade, et une mesure toujours...fiévreux, et l'on me dit que c'était une élégie. » On me dit que c'était une élégie ! mot naïf et charmant d'une femme qui fait de la poésie sans... | |
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