Praxitèle: essai sur l'histoire de l'art et du génie grecs depuis l'époque de Périclès jusqu'a celle d'Alexandre

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F. Tandou, 1864 - 300 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 287 - I see before me the gladiator lie : He leans upon his hand ; his manly brow Consents to death, but conquers agony, And his drooped head sinks gradually low ; And through his side the last drops, ebbing slow From the red gash, fall heavy, one by one, Like the first of a thunder-shower ; and now The arena swims around him ; he is gone, Ere ceased the inhuman shout which hailed the wretch who won.þ
ÇáÕÝÍÉ 271 - Or di fuoco, ora sono di ghiaccio, Ogni donna cangiar di colore, Ogni donna mi fa palpitar. Solo ai nomi d'amor, di diletto, Mi si turba, mi s'altera il petto, E a parlare mi sforza d'amore Un desio ch'io non posso spiegar.þ
ÇáÕÝÍÉ 140 - ... leçons et aux conseils d'autrui, et ainsi n'éprouvant jamais de mécompte, comme ne s'enorgueillissant jamais, toujours sage, modéré et content de ce qui lui arrive. Ces deux...þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - A la naissance des Muses, quand fut créée la musique, quelques hommes de ce temps-là furent saisis d'une volupté si grande que, toujours chantant, ils oublièrent de manger et de boire, et moururent doucement, sans douleur : c'est d'eux que sont venues les cigales, race privilégiée des Muses, qui vivent sans souffrir de la faim, et qui, sans jamais manger ni boire, chantent dès leur premier jour jusqu'à leur mort1.þ
ÇáÕÝÍÉ 180 - Glaucos est à la fois la couleur et le bruit de la mer, le flot qui blanchit, le reflet du ciel sur le dos des vagues, le vent du soir qui prédit la tempête du lendemain, le mouvement du plongeur, les formes rabougries de l'homme de mer, les désirs impuissants, les tristes retours de la vie solitaire...þ
ÇáÕÝÍÉ 25 - M.Trendelenbourg reste indécis , et ne se prononce ment ce qui sent serait aussi une sorte de grandeur. Mais pourtant l'essence de ce qui sent, non plus que la sensation même, n'est pas une grandeur; c'est un certain rapport et une certaine puissance à l'égard de l'objet senti. § 3. Et cela même nous fait voir clairement pourquoi les qualités excessives dans les choses sensibles détruisent les organes de la sensation. Si le mouvement est plus fort que l'organe , le rapport est détruit; et...þ
ÇáÕÝÍÉ 286 - Le profil grec ne peut être regardé nullement comme une forme extérieure ou accidentelle; il appartient à l'idéal de la beauté absolue, parce que c'est seulement dans cette conformation de la figure que l'expression de l'esprit refoule entièrement l'élément physique sur un plan inférieur, et, en second lieu, se dérobe le plus aux accidents de la forme, sans cependant montrer une simple régularité et bannir toute individualité...þ
ÇáÕÝÍÉ 25 - La sensibilité, en effet, ne peut pas sentir l'objet, quand la sensation qu'il produit est trop forte ; ainsi elle ne perçoit pas le son au milieu de sons violents, et quand les couleurs sont trop vives ou les odeurs trop fortes, elle ne peut ni voir ni odorer. Tout au contraire , l'intelligence , quand elle pense quelque chose de fortement intelligible , loin^ de penser moins bien les choses qui sont plus faibles , les pense encore mieux. C'est que la sensibilité ne peut s'exercer sans le corps...þ
ÇáÕÝÍÉ 50 - Le plus beau des spectacles pour quiconque pourrait le contempler, ne serait-il pas celui de la beauté de l'âme et de celle du corps unies entre elles, et dans leur parfaite harmonie? Assurément. Or ce qui est très beau est aussi très aimable.þ
ÇáÕÝÍÉ 289 - Glycon ne s'est pas montré moins poète qu'Apollonius, en empruntant des formes surhumaines dans l'expression des muscles, qui sont rendus comme des collines pressées, et l'artiste s'est proposé pour but d'exprimer l'élasticité rapide des fibres, en resserrant les muscles et en leur donnant...þ

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