Revue historique, littéraire et archéologique de l'Anjou, ÇáãÌáÏ 7Impr. librairie G. Grassin., 1872 |
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ÇáÕÝÍÉ 12 - Surtout l'anneau royal me semble bien trouvé. Son sujet est conduit d'une belle manière; Et chaque acte , en sa pièce , est une pièce entière. ^ Je ne puis plus souffrir ce que les autres font. — Il est vrai que Quinault est un esprit profond , þ
ÇáÕÝÍÉ 48 - Belle, jeune, brillante, aux bourreaux amenée, Tu semblais t'avancer sur le char d'hyménée; Ton front resta paisible et ton regard serein. Calme, sur l'échafaud, tu méprisas la rage D'un peuple abject, servile et fécond en outrage, Et qui se croit alors et libre et souverain.þ
ÇáÕÝÍÉ 18 - Monsieur, aurait répondu le comédien, il me semble qu'un roi qui s'entretient tout seul avec son capitaine des gardes, parle un peu plus humainement, et ne prend guère ce ton de démoniaque.þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - II fait quand on y va qu'on ne rit qu'au comique, Mais au Palais-Royal quand Molière eSt des deux, On rit dans le comique et dans le sérieux, Dieu me damne I Al.þ
ÇáÕÝÍÉ 21 - De ce daubeur de mœurs, qui sans aucun scrupule Fait un portrait naïf de chaque ridicule, De ce fléau des cocus, de ce bouffon du temps, De ce héros de farce acharné sur les gens, Dont pour peindre les mœurs la veine est si savante, Qu'il paraît tout semblable à ceux qu'il représente.þ
ÇáÕÝÍÉ 53 - Il ne reste donc plus qu'à laisser grossir ce torrent de lumières; bientôt il balayera les préjugés, bientôt le fanatisme n'aura plus d'aliment. A le bien prendre, ce n'est déjà plus qu'un squelette, qui, réduit chaque jour en poussière, doit insensiblement tomber sans efforts et sans bruit, si, assez sages pour ne pas remuer ses restes impurs, on évite tout ce qui peut lui permettre d'exhaler tout à coup des miasmes pestilentiels et orageux qui, inondant l'atmosphère politique, porteraient...þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - II est fait tout de mfme; il vient le nez au vent, Les pieds en parenthèse et l'épaule en avant; Sa perruque, qui suit le côté qu'il avance, Plus pleine de lauriers qu'un jambon de Mayence; Les mains sur les côtés, d'un air peu négligé; La tête sur le dos, comme un mulet chargé ; Les yeux fort égarés; puis, débitant ses rôles, D'un hoquet éternel sépare ses paroles...þ
ÇáÕÝÍÉ 21 - Je crois qu'on peut aller plus loin 1er ainsi le fameux comédien : « Qui voudra savoir de quoi je suis » mort, qu'il ne demande point si c'est de la fièvre, de l'hydropisie ou de » la goutte, mais qu'il sache que c'est dþ
ÇáÕÝÍÉ 66 - Nous mourons de faim au sein de l'abondance. Je crois qu'il faut tuer l'aristocratie mercantile, comme on a tué celle des prêtres et des nobles.þ
ÇáÕÝÍÉ 53 - Présentez aux pervers un assemblage révolutionnairement formidable ; écrasez au dedans les traîtres , tandis que la frontière se teint du sang de l'étranger Alors la République, majestueusement assise sur la masse immortelle de ses triomphes, fera rejaillir sur vous quelques rayons de sa splendeur... « Voyez au sommet de la Montagne les foudres et les lauriers . de la liberté...þ