Notices historiques sur les anciennes académies royales de peinture, sculpture de Paris, et celle d'architecture

ÇáÛáÇÝ ÇáÃãÇãí
Le Normant, 1814 - 312 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ

ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ

ÇáÕÝÍÉ 190 - Les autres mettent tous leurs soins à briguer les grands emplois , et moi j'ai appris des maîtres qu'il faut qu'un architecte attende qu'on le prie de prendre la conduite d'un ouvrage ; et qu'il ne peut, sans rougir, faire une demande qui le fait paraître intéressé ; puisqu'on sait qu'on ne sollicite pas les gens pour leur faire du bien, mais pour en recevoir...þ
ÇáÕÝÍÉ 233 - SUR LES MUSÉES Où se trouvent retenus tous les objets d'arts , qui sont la propriété des temples consacrés à la religion catholique. PAR DESEINE, Statuaire, Membre de l'ancienne académie royale de peinture et sculpture de Paris. !\\ V 1- * Mi % •» » * » * » PARIS, BAUDOUIN, Imprimeur de l'Institut national , rue de Grenelle Saint-Germain, N°.þ
ÇáÕÝÍÉ 246 - Louvre , sont tous des établissemens imaginés depuis la révolution ; ils doivent leur existence aux spoliations des temples : et sans le vandalisme , qui sera dans tous les temps- la honte des révolutionnaires , eût-on jamais osé proposer au gouvernement de dépouiller les temples consacrés à la religion catholique, pour former des musées et des administrations à charge au trésor public ? Mais examinons ce qu'est un musée.þ
ÇáÕÝÍÉ 63 - ... sur ce point qu'à la fin de l'année 1792 le ministre de l'intérieur. Roland, invitait par écrit les académiciens « à s'assembler pour choisir, à la pluralité des voix, un artiste peintre d'histoire en remplacement du directeur de l'école de Rome, qui venait de donner sa démission (1). þ
ÇáÕÝÍÉ 133 - L'étude et la visite ont leurs talens à part ; Qui se donne à la cour, se dérobe à son art; Un esprit partagé rarement s'y consomme, Et les emplois de feu demandent tout un homme.þ
ÇáÕÝÍÉ 90 - Nancy en 1635, envoya quérir Callot et lui proposa de représenter cette nouvelle conquête, comme il avait fait la prise de la Rochelle ; mais Callot pria Sa Majesté, avec beaucoup de respect de vouloir l'en dispenser, parce qu'il était Lorrain et qu'il ne croyait devoir rien faire contre l'honneur de son prince et contre son pays. Le Roi reçut son excuse en disant que le duc de Lorraine était bien heureux d'avoir des sujets si fidèles et si affectionnés.þ
ÇáÕÝÍÉ 245 - Deseine : Opinion sur les musées où se trouvent retenus tous les objets d'arts qui sont la propriété des temples consacrés à la religion catholique. Paris, Baudoin, imprimeur de f Institut national, rue de Grenelle Saint-Germain, nþ
ÇáÕÝÍÉ 197 - Lettre sur la sculpture destinée à orner les temples consacrés au culte catholique, et particulièrement sur les tombeaux adressée au général Bonaparte, premier consul de la République française, par Deseine, statuaire.þ

ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ