Histoire de la Révolution de France, ÇáãÌáÏ 1 |
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actes adresse amener annoncer appeler armes arrêté arriver assemblée avaient Bastille bientôt brigands c'était calme caractère cesse château clergé conseil corps coup cour crimes cris d'autres déclaration décret délibérations demande députés dernier désordre devait devenir discours donner duc d'Orléans électeurs élevé entraîner esprits états états-généraux étrange eût factieux factions Fayette femmes fidèle force formes foule française fureur garde garde nationale général haute heures hommes instant jeter jour l'assemblée l'autorité l'Hôtel-de-Ville l'ordre liberté livré lois Louis XVI main marche membres menaces ment milieu ministre Mirabeau monarchie montrait mouvement multitude n'avait n'était nation nationale Necker noblesse nombre nouveau nouvelle nuit ordres Palais-Royal parlement paroles passions pendant pensée peuple place porter pouvait pouvoir premier présente pressaient prince proposa provinces puissance puissante qu'une rangs régiment reine résistance reste réunis révolution royale royaume s'était salle séance semblée sentiment serait seul soldats sorte tête tiers-état tion troupes vaines venait Versailles vive voies
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ÇáÕÝÍÉ 44 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.þ
ÇáÕÝÍÉ 180 - Vous venez , Messieurs , d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul , je ferai le bien de mes peuples ; seul , je me considérerai comme leur véritable représentant...þ
ÇáÕÝÍÉ 341 - Messieurs, de nouvelles lois constitutives ne peuvent être bien jugées que dans leur ensemble ; tout se tient dans un si grand et si important ouvrage. Cependant je trouve naturel que dans un...þ
ÇáÕÝÍÉ 252 - Le chef de la nation vient avec confiance au milieu de ses représentants, leur témoigner sa peine et les inviter à trouver les moyens de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté.þ
ÇáÕÝÍÉ 226 - ... suivant : Le comité permanent de la milice parisienne, considérant qu'il ne doit y avoir à Paris aucune force militaire qui ne soit sous la main de la Ville, charge les députés qu'il adresse à M.þ
ÇáÕÝÍÉ 250 - ... et leurs caresses, et leurs exhortations, et leurs présents; dites-lui que, toute la nuit, ces satellites étrangers, gorgés d'or et de vin, ont prédit dans leurs chants impies l'asservissement de la France, et que leurs vœux brutaux invoquaient la destruction de l'Assemblée nationale; dites-lui que, dans son palais même, les courtisans ont mêlé leurs danses au son de cette musique barbare, et que telle fut l'avant-scène de la Saint-Barthélemy.þ
ÇáÕÝÍÉ 252 - Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu? Eh bien ! c'est moi qui ne suis qu'un avec ma nation, c'est moi qui me fie à vous!þ
ÇáÕÝÍÉ 183 - Qui vous donne des lois impérieuses? votre mandataire; lui qui doit les recevoir de nous, messieurs, qui sommes revêtus d'un sacerdoce politique et inviolable ; de nous, enfin, de qui seuls vingt-cinq millions d'hommes attendent un bonheur certain, parce qu'il doit être consenti, donné et reçu par tous.þ
ÇáÕÝÍÉ 165 - Plus habiles que nous , les héros bataves qui fondèrent la liberté de leur pays prirent le nom de gueux; ils ne voulurent que ce titre , parce que le mépris de leurs tyrans avait prétendu les en flétrir ; et ce titre , en leur attachant cette classe immense que l'aristocratie et le despotisme avilissaient, fut à la fois leur force, leur gloire et le gage de leur succès.þ
ÇáÕÝÍÉ 165 - ... en Amérique, les pâtres en Suisse, les gueux dans les PaysBas; ils se pareront des injures de leurs ennemis; ils leur ôteront le pouvoir de les humilier, avec des expressions dont ils auront su s'honorer *. l.þ