La morale: fondements psycho-sociologiques d'une conduite rationnelleO. Doin, 1901 - 400 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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actes Adam SMITH Alcan animaux appétits aptitudes ARISTOTE besoin bonheur BROOKS ADAMS carac caractère cause citoyen civilisation collective complète conception conduite conscience conséquent considérer contrat crime criminels croyance dance délibération délinquants déterminer développement devoir doit DUPRAT DURKHEIM économique enfants esprit esthétique Éthique à NICOMAQUE famille femme foncière fonctions général hommes idéal immoraux individuelle individus intellectuelle intelligence joie KANT l'action l'activité l'amour l'esprit l'État l'être l'évolution sociale l'homme l'humanité l'idéal l'individu liberté loppement lutte matriarcale ment mentale métaphysique mobiles mœurs morale sociale morbide nation naturel NIETZSCHE normale noumène parfois passion peuple philosophie Pierre JANET plaisir PLATON politique possible pratique primitive propriété psychiques psychologique puissance qu'un raison rale rationnelle réaliser religieux religion RENOUVIER rôle salariat sanction science scientifique sentiments serait seulement société sociologie solidarité sorte SPENCER SPINOZA spontanée stoïciens stoïcisme susceptible sympathie système tence tendances théorie de l'activité théorie morale tion TOLSTOï travail type valeur morale vertu volonté vraiment
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ÇáÕÝÍÉ 278 - La. propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.þ
ÇáÕÝÍÉ 40 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...þ
ÇáÕÝÍÉ 19 - La morale et les mathématiques ont cela de commun que, pour exister à titre de sciences, elles doivent se fonder sur de purs concepts. L'expérience et l'histoire sont plus loin de représenter les. lois de la morale que la nature ne l'est de réaliser exactement les idées mathématiques...þ
ÇáÕÝÍÉ 23 - Elle peut nous aider à trouver le sens dans lequel nous devons orienter notre conduite, à déterminer l'idéal vers lequel nous tendons confusément...þ
ÇáÕÝÍÉ 104 - Le plaisir, de quelque nature qu'il soit, à quelque moment que ce soit, et pour n'importe quel être ou quels êtres, voilà l'élément essentiel de toute conception de moralité. C'est une forme aussi nécessaire de l'intuition morale que l'espace est une forme nécessaire de l'intuition intellectuelle.þ
ÇáÕÝÍÉ 95 - ... le fait de la liberté apparente et crue pratiquement, et auquel il n'est point possible de se soustraire, à quiconque délibère et se résout à l'acte, en comparant sous le rapport du bien des possibles divers, des possibles également possibles selon son jugement pratique, et dont nul ne s'offre à lui comme nécessaire par avance. Telle est donc la liberté que suppose la morale. Elle n'exclut point du domaine de la moralité les partisans de la dqctrine de la nécessité.þ
ÇáÕÝÍÉ 8 - ... toutes les notions du bien et du mal, du juste et de l'injuste, enseignant des principes subversifs, infâmes, peuvent s'appeler des Traité...þ
ÇáÕÝÍÉ 230 - Dans les deux cas, il s'établit des relations spéciales, il se crée des besoins similaires, il surgit des concurrences forcées, des connexions et des oppositions...þ
ÇáÕÝÍÉ 25 - si nous savons dans quel sens évolue le droit de propriété à mesure que les sociétés deviennent plus volumineuses et plus denses et...þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - ... qui sont les mobiles et les motifs de nos actions, tout cela, c'est nous, c'est notre moi, se déterminant progressivement lui-même... l'idée de liberté doit donc s*e concilier avec l'idée de déterminisme ; mais alors elle peut être celle d'une détermination par soimême, opposée à celle d'une détermination par le dehors, d'une causalité intime opposée à la causalité extérieure. L'idée d'un homme libre est celle d'un agent, qui est véritablement agent, au lieu d'être simplement...þ