Les poètes français du XIXe siècleCamille Fontaine W.R. Jenkins, 1889 - 395 من الصفحات |
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الصفحة 48 - Des plus beaux de nos jours ! ' ' Assez de malheureux ici-bas vous implorent : Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux. " Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit : Je dis à cette nuit : "Sois plus lente " ; et l'aurore Va dissiper la nuit. 1.
الصفحة 3 - le retour Du jour !. Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau, -Si beau? Te souvient-il de cette amie Tendre compagne de ma vie ? Dans les bois, en cueillant la fleur Jolie, Hélène appuyait sur mon cœur Son cœur.
الصفحة 193 - Je ne crois pas, ô Christ ! à ta parole sainte : Je suis venu trop tard dans un monde trop vieux. D'un siècle sans espoir naît un siècle sans crainte : Les comètes du nôtre ont dépeuplé les cieux. Maintenant le hasard promène au sein des ombres De leurs illusions les mondes réveillés
الصفحة 141 - L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car on voyait passer dans la nuit, par moment, Quelque chose de bleu qui paraissait une aile. La respiration de Booz qui dormait Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse. On était dans le mois où la nature est douce,
الصفحة 47 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle
الصفحة 193 - L'esprit des temps passés, errant sur leurs décombres, Jette au gouffre éternel tes anges mutilés. Les clous du Golgotha te soutiennent à peine ; Sous ton divin tombeau le sol s'est dérobé : Ta gloire est morte, ô Christ ! et sur nos croix d'ébène Ton cadavre céleste en poussière est tombé ! Eh bien ! qu'il soit permis
الصفحة 17 - Il applaudit au rang suprême Moins qu'aux charmes de mon printemps. En vain la grandeur souveraine M'attend chez le sombre Écossais ; Je n'ai désiré d'être reine Que pour régner sur des Français. Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu ! te quitter, c'est mourir. 1.
الصفحة 142 - SAISON DES SEMAILLES, LE SOIR. C'est le moment crépusculaire. J'admire, assis sous un portail, Ce reste de jour dont s'éclaire La dernière heure du travail. Dans les terres, de nuit baignées, Je contemple, ému, les haillons D'un vieillard qui jette à poignées La moisson future aux sillons. Sa haute silhouette noire Domine les profonds labours.
الصفحة 47 - encor passe d'un monde à l'autre Au bruit de vos sacrés concerts ! LE LAC. » Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle
الصفحة 181 - LE POETE. O Muse ! spectre insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prête à chanter comme un oiseau ; Mais j ' ai souffert un dur martyre, Et le moins que j'en pourrais dire, Si je