Napoléon Ier: ses institutions civiles et administrativesLibrairie Plon, 1880 - 332 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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18 brumaire 22 frimaire 25 décembre 28 floréal 30 mars administrations agents août article assignats avaient avril Banque Barbé-Marbois c'était caisse Cambacérès cent citoyens civil Code colléges comte comte MOLLIEN Conseil d'État Constitution de l'an Constitution du 22 Convention Corps législatif Cour de cassation créé cultes décembre Décret du 17 département devait Directoire dispositions dotation écoles écoles centrales électeurs électoraux émigrés établi février finances fonctionnaires fonctions Fourcroy frimaire an VIII germinal impériale institutions janvier juges juillet juin jury justice l'administration l'an VIII l'Assemblée l'Empereur Légion d'honneur liste loi du 28 lois mars membres ment messidor mille millions ministre Mollien municipales n'avait Napoléon nation nationale nivôse an VIII nommés novembre octobre organisation peuple pluviôse police politique pouvoir préfets Premier Consul public publique rente République reste Révolution Roederer Sénat sénatus-consulte sénatus-consulte du 16 septembre 1797 serment service seul spéciales supprima surveillance tidor tion titre Trésor tribunal Tribunat vendémiaire ventôse
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ÇáÕÝÍÉ 243 - Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir d'une manière convenable aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres et au soulagement des pauvres, sous la surveillance et d'après les instructions des provinces.þ
ÇáÕÝÍÉ 204 - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.þ
ÇáÕÝÍÉ 34 - La nation française déclare qu'en aucun cas elle ne souffrira le retour des Français qui, ayant abandonné leur patrie depuis le...þ
ÇáÕÝÍÉ 242 - ... à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout leur pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi...þ
ÇáÕÝÍÉ 239 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 29 - Quiconque sera convaincu d'avoir composé ou imprimé des ouvrages ou écrits qui provoquent la dissolution de la représentation nationale, le rétablissement de la royauté ou tout autre pouvoir attentatoire à la souveraineté du peuple, sera traduit au tribunal extraordinaire et puni de mort.þ
ÇáÕÝÍÉ 52 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation; nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.þ
ÇáÕÝÍÉ 241 - Le nouvel évêque ne pourra s'adresser au Pape pour en obtenir aucune confirmation; mais il lui écrira comme au Chef visible de l'Église universelle, en témoignage de l'unité de foi et de la communion qu'il doit entretenir avec lui.þ
ÇáÕÝÍÉ 230 - C'est à l'idéologie , à cette ténébreuse métaphysique, qui, en recherchant avec subtilité les causes premières , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France.þ
ÇáÕÝÍÉ 10 - Sont réputés gens suspects, i° ceux qui , soit par leur conduite, soit par leurs relations , soit par leurs propos ou leurs écrits , se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté ; 2°...þ