Oeuvres de M. de Voltaire, المجلد 1;المجلد 19Cramer et Bardin, 1775 |
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عبارات ومصطلحات مألوفة
affez affuré ainfi Anglais armée auffi Autrichiens avaient bataille bleffés c'eft c'eſt C'était Cardinal Cardinal de Noailles caufe cent Charles chofes Colbert compofée Comte Confeil conferver confidérables d'Angleterre d'Efpagne d'Eſpagne déja difait difputes donner Duc d'Orléans Duc de Savoie Ducheffe Efpagnols efprit enfuite ennemis Etats Evêques faifait falait falut fans fecond fecours fecret femblait fent fervir feul fiécle fiége Flandre foit foldats fon frère font Fontenoi fous fouvent fuccès fuivi fujets furtout grace guerre Hollande Jéfuites jufqu'à l'armée l'efprit l'Eglife l'Empereur l'Etat l'Europe l'hiftoire laiffa loix longtems Louis XIV Madame de Maintenon Maifon Maréchal de Saxe Maréchal de Villars mille hommes Miniftre Monfieur mort n'avait n'eft nation paffer paix Pape paraiffait penfer perfonne peuple Philippe philofophie plufieurs pofte préfent prefque prife prifonniers Prince Eugène Princeffe Pruffe puiffance reffource refte Reine Rome Royaume Sardaigne Siécle de Louis tems toûjours troupes vaiffeaux دو
مقاطع مشهورة
الصفحة 221 - C'est le privilège du vrai génie, et surtout du génie qui ouvre une carrière, de faire impunément de grandes fautes.
الصفحة 213 - C'est moins un livre que des matériaux pour orner un livre. On lut avidement ce petit recueil; il accoutuma à penser, et à renfermer ses pensées dans un tour vif, précis et délicat. C'était un mérite que personne n'avait eu avant lui en Europe depuis la renaissance des . lettres; mais le premier livre de génie qu'on vit en prose fut le recueil des Lettres provinciales en 1654.
الصفحة 131 - Que ne puis-je vous donner mon expérience 1 que ne puis-je vous faire voir l'ennui qui dévore les grands, et la peine qu'ils ont à remplir leurs journées ! Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse dans une fortune qu'on aurait peine à imaginer, et qu'il n'ya que le secours de Dieu qui m'empêche d'y succomber?
الصفحة 297 - On les aurait déterrées aussi bien chez des casuistes dominicains et franciscains ; mais c'était aux seuls jésuites qu'on en voulait. On tâchait, dans ces lettres, de prouver qu'ils avaient un dessein formé de corrompre les mœurs des hommes : dessein qu'aucune secte, aucune société n'a jamais eu et ne peut avoir ; mais il ne s'agissait pas d'avoir raison, il s'agissait de divertir le public.