L'esprit de l'Eglise, ou Considérations philosophiques sur l'histoire des conciles, depuis les apôtres jusqu'au grand schisme entre les Grecs et les Latins: sous l'empire de Charlemagne, المجلد 3

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عبارات ومصطلحات مألوفة

مقاطع مشهورة

الصفحة 143 - République, sauf qu'au lieu de la déclaration prescrite par l'article 6 de ladite loi, ils seront tenus de prêter le serment de haine à la royauté et à l'anarchie, d'attachement et de fidélité à la République et à la Constitution de l'an III.
الصفحة 63 - Urbain VIII, Clément IX, X, XI et XII, Alexandre VII et VIII, Innocent X, XI, XII et XIII et Benoît XIV se sont vainement efforcés de rendre à l'Église la tranquillité désirée, par plusieurs constitutions soit relatives aux affaires...
الصفحة 194 - Mathathias qui tua son concitoyen prêt à sacrifier aux dieux, et ajoute : « Si, avant la venue du Christ, ces préceptes concernant le culte de Dieu et le mépris des idoles ont été observés, combien plus ne faudra-t-il pas les observer après la venue du Christ, et après qu'il nous ya exhortés, non seulement par ses paroles, mais encore par ses actions ( Cnjus prœcepti et TÎgoris memor Mathathias intcrfecit eum qui ad aram sacrificaturus accesserat.
الصفحة 61 - Nos autres prédécesseurs ont exercé dans la suite la même munificence et la même libéralité envers cette Société. En effet , Jules III , Paul IV, Pie IV et V, Grégoire XIII , Sixte V, Grégoire XIV, Clément VIII et d'autres Souverains Pontifes ont ou confirmé , ou augmenté, ou déterminé plus particulièrement les priviléges déjà accordés à ces Religieux. Cependant la teneur même et les termes de ces Constitutions apostoliques nous apprennent que la Société, presque encore au...
الصفحة 185 - VindifJerentisme de toutes les religions, sans en excepter la religion juive , essentiellement ennemie implacable de Jésus-Christ La protection.... de tous les cultes n'est qu'un prétexte de la puissance civile pour s'immiscer dans les affaires spirituelles ; car en respectant véritablement toutes les sectes, avec toutes leurs opinions , coutumes et superstitions , on n'a en effet aucun respect pour les droits, les institutions et les lois de la religion catholique.
الصفحة 162 - Si quis non recto judicio eorum qui praesunt ecclesiae, depellatur, et foras mittatur, si ipse non ante exiit, hoc est, si non ita egit, ut mereretur exire, nihil laeditur in eo quod non recto judicio ab hominibus videtur expulsus. Et ita fit, ut interdum ille, qui foras mittitur, intus sit, et ille foris, qui intus retineri videtur.
الصفحة 255 - ... où elle allait consacrer le pape qu'elle avait élu. Cherchez les détails dans Luitprand*, ils sont pittoresques, mais tiendraient ici trop de place. Après la mort de Formose, la faction contraire porta au trône Etienne VI. Ce pape fit déterrer* le cadavre du pape Formose (896), le fit revêtir de ses habits pontificaux, et l'ayant fait placer au milieu d'une assemblée d'évêques, il lui demanda comment l'ambition avait bien pu le porter à avoir l'audace de changer le siège de Porto...
الصفحة 273 - Allemands ; tout le peuple se souleva contre lui , et il fut obligé de céder la place à son rival. Jean signala sa rentrée dans Rome par des cruautés sans nombre : il fit couper la main droite à un cardinal diacre, la langue , deux doigts et le nez au protoscrinaire , et condamna Otger, évêque de Spire , à être battu de verges.
الصفحة 276 - Latran, à la présence des évêques romains , italiens , lorrains , saxons, et de tout le peuple : un cardinal lui demanda pourquoi il avoit osé envahir la chaire de saint Pierre , pendant la vie du pape Léon que lui-même avoit aidé à élever au pontificat ? pourquoi il avoit violé les sermens qu'il avoit faits de ne point élire de pape , sans le consentement d'Othon? Benoît répondit...
الصفحة 267 - Rome étaient obligées de fuir leur patrie afm de n'être pas exposées aux violences sous lesquelles avaient déjà succombé tant de femmes, de veuves et de vierges ; ils ajoutèrent que le palais de Latran, jadis l'asile des saints, était devenu un lieu de prostitution, où, entre autres femmes de mauvaise vie, Jean entretenait, comme sa propre épouse, la sœur de la concubine de son père.

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