Histoire de la Révolution de France: précédée de l'exposé rapide des administrations successives qui ont déterminé cette Révolution mémorable, ÇáãÌáÏ 5Garnery, 1792 |
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Affaire de Nancy agens armée armes arrêté assemblée asyle auroient auroit avoient avoit Bastille Bouillé C'étoit carabiniers Champ-de-Mars chefs cipalité civile du clergé club cocarde comité commandant commissaires compagnies constitution corps législatif coups déclara décrets de l'Assemblée demande départemens département députés despotisme devoient devoit directoire disoit district dragons drapeaux effrayé ennemis envoyer étoient étoit eût faisoient faisoit falloit fanatisme Fayette fédération fête foiblesse force françois fureur fusils garde nationale garnison général grenadiers guerre heures hommes jour l'armée l'Assem l'Assemblée nationale l'hôtel-de-ville Lameth liberté loi martiale loix long-tems Lunéville maire maison Malseigne mande ment Mestre-de-Camp militaires ministres Mirabeau mouvemens multitude n'avoit Nancy nation Nîmes officiers municipaux ordre paix patrie patriotes peuple Port-au-Prince porte pouvoir exécutif prison proclamation publique quartier régimens régiment de Guyenne régiment de Touraine représentans révolution royaume s'étoient sabre séditieux semblée nationale sentimens serment seroient seroit seul soldats tems tion tionale tisme toyens troupes venoit
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ÇáÕÝÍÉ 93 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - Ne serait-il pas digne de nous, messieurs, de nous unir à cet acte religieux, de participer à cet hommage rendu, à la face de l'univers, et aux droits de l'homme et au philosophe qui a le plus contribué à en propager la conquête sur toute la terre...þ
ÇáÕÝÍÉ 140 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - Assez longtemps les cabinets politiques ont notifié la mort de ceux qui ne furent grands que dans leur éloge funèbre. Assez longtemps l'étiquette des cours a proclamé des deuils hypocrites.þ
ÇáÕÝÍÉ 72 - Sur les demandes en cassation contre les jugemens rendus en dernier ressort par les tribunaux ; Sur les demandes en renvoi d'un tribunal à un autre pour cause de suspicion légitime; Sur les réglemens de juges et les prises à partie contre un tribunal entier.þ
ÇáÕÝÍÉ 165 - Moi, Roi des Français, je jure à la Nation d'employer tout le pouvoir, qui m'est délégué par la loi constitutionnelle de l'État, à maintenir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par moi et à faire exécuter les lois.þ
ÇáÕÝÍÉ 189 - ... le genre d'attaque que lui livrèrent ses ennemis. Une preuve qu'elle était l'ouvrage du bon sens et de la raison, c'est qu'on ne put employer contre elle d'autres armes que celles du fanatisme, de la superstition, despréjugés et de toutes les erreurs humaines. Dans l'impossibilité de combattre les principes de la constitution, on s'efforça d'en discréditer les auteurs à force de calomnies; pour obscurcir les premières notions de justice et de vérité que la nature a gravées dans le...þ
ÇáÕÝÍÉ 94 - Il appartient au Roi d'arrêter et de signer, avec toutes les puissances étrangères, tous les traités de paix, d'alliance et de commerce, et autres conventions qu'il jugera nécessaires au bien de l'État, sauf la ratification du Corps législatif.þ
ÇáÕÝÍÉ 119 - ... et sans que l'exécution des dispositions relatives aux livrées et aux armes placées sur les voitures, puisse être suivie ni exigée par qui que ce soit avant le 14 juillet pour les citoyens vivant à Paris, et avant trois mois pour ceux qui habitent les provinces.þ
ÇáÕÝÍÉ 111 - Mars, et le bonnet de la liberté qu'ils élèveront avec transport sera le gage de la délivrance prochaine de leurs malheureux concitoyens. Les triomphateurs de Rome se plaisaient à traîner les peuples vaincus liés à leurs chars ; et vous, messieurs, par le plus honorable des contrastes, vous verrez dans votre...þ