CHARA D E. LE premier te dévorera; Dans la feconde ample richeffe ; Teut on m'éerafe, & tout (pieds on déplacera), J'enfante une Déeffe. (Par l'Auteur du Manuel des Oififs, dont le Livre fe vend à Paris, chez le Boucher, Lib., au coin des rues de la Calandre & Το II du Marché Palus, en la Cité.) ÉNIGM É. UN Enfant (1) de Loyola Dit, dans un folâtre Ouvrage monoligrā Que pour favoir qui m'aara, favoir qui m'aara,sonal sh Parfois un combat s'engage Dans le palais de Vefta. Ce n'eft pas que je fois belle ;. Il mais mon emploi Fair qu'on s'amufe avec moi (1) Le P. du Cerceau, Poëme des Tifons. & A il esb Et quand l'efprit n'offre rien En tout honneur & tout bien, - Qu'on a mis fous ma tutelle Vif & lent, doux & rebelle; Ou le réduit en cannelle. Mes bras font deux fois plus longs (Par un Abonné.) LOGOGRIPHE JE fuis une femelle aimable & dangercule; On voit dans mes cinq pieds ce qu'au fond du tonneau Un ivrogne lauffe avec peine ; Un espace environné d'eau; Un arbre toujours vert; de la fageffe humaire Ce qui d'un vêtement raffemble les parties ; Eft-cé-là tout, Lecteu 1? Non ; fi tu m'étuđies, Mais c'en ef trop; adieu, rêves en liberté. NOUVELLES LITTERAIRES. ÉTRENNES Lyriques Anacreontiques, pour l'année 1788, préfentées à MADAME 201 Les vers font enfans de la Lyres A Paris, chez l'Auteur, rue des Nonan dières, No. 31 m ALMANACH des Grates, Ernennesi Erotiques chantantes, dédio & préfèncé al Madame COMTESSE PARTOIS, pour 5 l'année 1788: Il n'appartient qu'aux Graser I A Paris, chez Cailleau, Imp.-Lib., rue 3 64. choix de É TRENNES de Polymnie, cho Chanfons, Romances, Vaudevilles, &c, avec de la muligne nouvelle. & des timbres d'airs connus, fur lefquels la plu part des morceaux peuvent auffi être chantés. A Paris, chez Belin, Libraire, tue S. Jacques; Brunet, Lib., rue de Marivaux; Defenne, Gattey, Petit, Lib. au Palais-Royal. ON à toujours annoncé ces Recueils Na avec indulgence, & on l'a dû. Peu d'Ouvrages font dignes de la critique ; elle perdroit fon temps, & s'amuferoit à des riens, fi elle s'exerçoit fur des Almanachs. Prefque toutes les bagatelles que l'on y raffemble ne font que des bluets ramaffés aux environs de la double colliline. Peu de Poetes connus y infèrent dès Pièces, & la plupart des faifeurs de Chanfons qui les rempliffent, favent bien euxmêmes qu'ils ne font pas des Auteurs: c'eft du moins ce que donne à entendre ce Coupler de M. Mayer, tiré des Étrennes Lyriques, page 37. POUR un couplet mesquin Mon Coufin, Croire qu'à la fontaine De l'Hélicon divin Mon Coufin On boit à taffe pleine, Mon Coufin; Voilà d'un Faquin l'allure, Mon Coufin, Yoilà d'un Faquin l'allure. |