Cours d'instruction réligieuse, ou, Exposition complète de la doctrine catholique, ÇáãÌáÏ 1 |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
âme anciens Apôtres assure aurait avaient avant avons c'était cause choses chrétienne Christianisme ciel commencement connaissance connaître conserver considérer corps cour croire culte d'autres demeure dernière devait Dieu dieux différence dire divine doctrine dogmes doit donner doute éclaire écrit élevé enfants esprit établi événements famille fils fond force forme Grecs haut hommes humain idées intelligence Jésus-Christ jour Juda Juifs jusqu'à l'âme l'esprit l'histoire l'homme l'idée l'ordre laissé lieu livres lois lui-même lumière main manifester ment Messie milieu miracles Moïse monde morale mort n'avait n'était n'ont nations nature naturelle nombre observé parler parole passer pensée pères personne peuple philosophes porte pouvait premiers preuve princes prophètes propre puissance pures qu'à qu'une raison rapport reçu religieux religion révélation rien s'il sacrifices sagesse saint science Seigneur sens sentiment serait servir seul siècles simple sorte suite supposer terre tion traditions trouve venir vérité voie voit volonté vrai yeux
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 420 - Jean, car ce n'est pas la chair et le sang qui te l'ont révélé, mais c'est mon Père qui est dans les cieux. Et moi, je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle.þ
ÇáÕÝÍÉ 6 - L'immortalité de l'âme est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est.þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Toute...þ
ÇáÕÝÍÉ 71 - ... rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain je m'attachais à ces croyances dernières comme un naufragé aux débris de son navire; en vain, épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays...þ
ÇáÕÝÍÉ 8 - ... que s'il est avec cela tranquille et satisfait, qu'il en fasse profession, et enfin qu'il en fasse vanité, et que ce soit de cet état même qu'il fasse le sujet de sa joie et de sa vanité, je n'ai point de termes pour qualifier une si extravagante créature.þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits; car il connaît tout cela, et soi; et les corps, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.þ
ÇáÕÝÍÉ 171 - C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère , et s'attachera à sa femme, et ils seront deux dans une seule chair.þ
ÇáÕÝÍÉ 390 - Il ira, cet ignorant dans l'art de bien dire, avec cette locution rude , avec cette phrase qui sent l'étranger, il ira en cette Grèce polie , la mère des philosophes et des orateurs ; et malgré la résistancedu monde , il y établira plus d'Églises , que Platon n'ya gagné de disciples par cette éloquence qu'on a crue divine.þ
ÇáÕÝÍÉ 7 - Cette négligence en une affaire où il s'agit d'eux-mêmes, de leur éternité, de leur tout, m'irrite plus qu'elle ne m'attendrit; elle m'étonne et m'épouvante, c'est un monstre pour moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 52 - Ce soleil de vérité ne laisse aucune ombre, et il luit en même temps dans les deux hémisphères : il brille autant sur nous la nuit que le jour : ce n'est point au dehors qu'il répand ses rayons; il habite en chacun de nous.þ