Après une exaction si impie , fallait-il « s'étonner , disaient les ecclésiastiques , que la « faveur divine eût abandonné un prince qui « reconnaissait si mal ce que la Providence avait « fait pour lui et pour la grandeur de sa mai Histoire de Lille - الصفحة 326بواسطة Victor Derode - 1848 - عدد الصفحات: 500عرض كامل - لمحة عن هذا الكتاب
| Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1825 - عدد الصفحات: 680
...calomnies1. «Après une exaction si impie, » fallait-il s'étonner, disaient les ecclésiastiques , » que la faveur divine eût abandonné un prince » qui reconnaissait si mal ce que la Provi» dence avait fait pour lui et pour la gran» deur de sa maison. » Ils imputaient surtout cet... | |
| Amable Guillaume Prosper Brugière de Barante - 1826 - عدد الصفحات: 434
...1 . « Après une exaction si impie , » fallait-il s'étonner, disaient les ecclésiastiques , » que la faveur divine eût abandonné un prince » qui reconnaissait si mal ce que la Provi» dence avait fait pour lui et pour la gran» deur de sa maison. » Ils imputaient surtout cet... | |
| Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1839 - عدد الصفحات: 504
...lomnies'. « Après une exaction si impie , fallait-il « s'étonner , disaient les ecclésiastiques , que la « faveur divine eût abandonné un prince...reconnaissait si mal ce que la Providence avait « fait pour lui et pour la grandeur de sa mai« son?» Ils imputaient surtout cet amortissement aux conseillers... | |
| Amable Guillaume Prosper Brugière de Barante - 1839 - عدد الصفحات: 476
...calomnies *. « Après uneexac" tion si impie, fallait-il s'étonner, disaient les ecclésiastiques, que » la faveur divine eût abandonné un prince...reconnaissait si » mal ce que la Providence avait fait pour lui et pour la grandeur » de sa maison? » Ils imputaient surtout cet amortissement aux conseillers... | |
| Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1842 - عدد الصفحات: 664
...une exaction si impie, fallait-il s'éton«ner, disaient les ecclésiastiques, que la faveur divine o eût abandonné un prince qui reconnaissait si mal ce que « la Providence avait fait pour lui et pour la grandeur de « sa maison ? » Ils imputaient surtout cet amortissement aux conseillers... | |
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