Mémoires sur la révolution françaiseBéchet ainé, 1823 - 364 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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10 août accusés affreux agens amis anarchistes armée armes arrêté assassins assemblées assignats aurions avaient Barbaroux Barrère bientôt bonheur Brissot calomnie Calvados choses citoyens comité de salut commettans commissaires commission des douze constitution constitution de 1791 Convention nationale coupable courage crime d'Évreux Danton déclaration décret départemens département députés despotisme devait enfans enfin ennemis eût évènemens Évreux fallait fédéralisme force forfaits Garat Gironde girondins gloire gouvernement Guadet guillotine habitans hommes j'ai jacobins jour jugement juin justice l'anarchie l'Assemblée l'échafaud Lanjuinais législative liberté lois long-temps Louis XVI Louvet malheur Marat membres Mémoires de Buzot ment mesures misère mort nation paix patrie patriotisme Pétion porter pouvait présenter président principes proscrits publique puissances étrangères représentans du peuple républicains république reste révolution révolutionnaire Robespierre Rolland royauté Saint-Emilion salle salut public sang sans-culottes scélérats séance sections septembre sera seul sort sûreté tête tion tocsin toyens tribunal tribune Troquart troupes trouver tyrans Vergniaud vertu
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ÇáÕÝÍÉ 65 - Après l'abdication, expresse ou légale, le Roi sera dans la classe des citoyens, et pourra être accusé et jugé comme eux pour les actes postérieurs à son abdication.þ
ÇáÕÝÍÉ 21 - ... il les défend à tout prix. Facile à s'indigner contre l'injustice, il la poursuit avec chaleur et ne sait jamais composer avec le crime. Ami de l'humanité, susceptible des plus tendres affections, capable d'élans sublimes et des résolutions les plus généreuses, il chérit son espèce, et sait se dévouer en républicain ; mais juge sévère des individus, difficile dans les objets de son estime, il ne l'accorde qu'à fort peu de gens. Cette réserve, jointe à l'énergique liberté avec...þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - Mais d'après les notions que j'ai recueillies personnellement dans ma route, je me suis convaincu combien il était nécessaire pour le bonheur de la Constitution de donner de la force aux pouvoirs établis pour maintenir l'ordre public. 'Aussitôt que j'ai reconnu la volonté générale, je n'ai point hésité, comme je n'ai jamais hésité, de faire le sacrifice de tout ce qui m'est personnel, pour le bonheur du Peuple, qui a toujours été l'objet de mes désirs. J'oublierai volontiers tous les...þ
ÇáÕÝÍÉ 94 - Quand un coupable est saisi commettant un assassinat, avons-nous besoin, pour être convaincus de son forfait, de compter le nombre des coups qu'il a donnés à sa victime ? Eh bien ! les délits des députés sont-ils plus difficiles à juger? N'at-on pas vu le squelette du fédéralisme, des citoyens égorgés, des villes détruites?þ
ÇáÕÝÍÉ 21 - ... que les mœurs étaient nécessaires dans une république, et qu'il ne faut rien négliger pour les soutenir ou les rectifier; de calomnier Paris, parce qu'il abhorrait les massacres de septembre, et ne les attribuait qu'à une poignée de bourreaux gagés par des brigands ; d'aristocratie...þ
ÇáÕÝÍÉ 37 - ... les biens et l'état de chacun ne seront plus troublés, que les lois ne seront plus enfreintes impunément, et qu'enfin la liberté sera posée sur des bases fermes et inébranlables. A Paris, le 20 juin 1791. Signé : Louis.þ
ÇáÕÝÍÉ 21 - ... de hauteur, et lui a donné des ennemis. La médiocrité ne pardonne guère au mérite ; mais le vice hait et poursuit la vertu courageuse qui lui déclare la guerre. Buzot est l'homme le plus doux de la terre pour ses amis, et le plus rude adversaire des fripons. Jeune encore, la maturité de son jugement et l'honnêteté de ses mœurs lui valurent l'estime et la confiance de ses concitoyens. Il justifia l'une et l'autre par son dévouement à la vérité , par sa fermeté, sa persévérance...þ
ÇáÕÝÍÉ 60 - Si le roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.þ
ÇáÕÝÍÉ 21 - ... principes de la plus touchante philosophie , il paraît fait pour goûter et procurer le bonheur domestique ; il oublierait l'univers dans la douceur des vertus privées , avec un cœur digne du sien ; mais jeté dans la vie publique , il ne connaît que les règles de l'austère équité ; il les défend à tout prix. Facile à s'indigner contre l'injustice , il la poursuit avec chaleur, et ne sait jamais composer avec le crime. Ami de l'humanité , susceptible des plus tendres affections, capable...þ
ÇáÕÝÍÉ 51 - ... le reste de la monarchie. Je viens de m'adresser à l'empereur, à l'impératrice de Russie, aux rois d'Espagne et de Suède, et je leur présente l'idée d'un congrès des principales puissances de l'Europe, appuyé d'une force armée.þ