Causes célèbres de tous les peuples, المجلد 1Lebrun, 1858 - 562 من الصفحات |
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28 juillet accusés assassins aurait avaient avez Avril Beau-François Béranger Bocarmé Boireau boulevard du Temple c'était cadavre CAUSES CÉLÈBRES Cécile chambre chansons chercher chose citoyen cœur comte Conciergerie condamné Conte Contrafatto coup coupable Cour d'assises crime d'Orgères Damiens déclarations défense demande déposition devant Dieu dire disait dit-il enfants eût femme Fieschi fille Fougnies frère Gustave Hérin heures homme interrogatoires j'ai j'étais jeune jour juge jurés jury justice l'accusé l'assassinat l'attentat l'instruction Lacenaire laisser Léotade Lesage lettre Lorien Louis XVI madame de Praslin madame Lafarge main maison malheureux Marcenat Marie Cappelle Marie Lafarge ment Messieurs Messieurs les jurés Micaud Monsieur Morey mort n'avait n'était nicotine pable Papavoine parler paroles passer pensée Pepin personne Poissy porte premier président prison procès procureur général rappelle répondit reste rien Rouge-d'Auneau rue Riquet sais sentiments serait seul sieur sorte Soufflard témoin tion trouvé Valaze Vasseur Verger victime Vidal yeux
مقاطع مشهورة
الصفحة 15 - Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu'elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union , comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle , si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.
الصفحة 22 - Citoyens, on vient de vous exposer mes moyens de défense, je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
الصفحة 22 - ... fut économe, juste, sévère ; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui, il le détruisit. Le peuple demandait l'abolition de la servitude ; il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines. Le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle, pour l'adoucissement du sort des accusés ; il fit ces réformes. Le peuple voulait que des milliers de Français, que la rigueur de nos usages avait...
الصفحة 12 - XVI sache que s'il me choisit pour cette fonction , je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la Convention de mon offre ; car je suis bien éloigné de me croire un...
الصفحة 15 - ... de trouble et d'effervescence on n'est pas le maître de soi ; et je prie mon fils, s'il en trouve l'occasion, de ne songer qu'à leur malheur.
الصفحة 22 - Français, qu est donc devenu ce caractère national, ce caractère qui distinguait vos anciennes mœurs, ce caractère de grandeur et de loyauté? Mettriez-vous votre puissance à combler l'infortune d'un homme qui a eu le courage de se confier aux représentants de la nation elle-même?
الصفحة 15 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve ; qu'il ne peut faire le bonheur des Peuples qu'en régnant suivant les lois...
الصفحة 19 - Après l'abdication expresse ou légale, le Roi sera dans la classe des citoyens, et pourra être accusé et jugé comme eux pour les actes postérieurs à son abdication.
الصفحة 15 - ... autre manière que ce puisse être; je prie Dieu, particulièrement , de jeter des yeux de miséricorde sur ma femme , mes enfans et ma sœur, qui souffrent depuis long-temps avec moi , de les soutenir par sa grâce , s'ils viennent à me perdre, et tant qu'ils resteront dans ce monde périssable.
الصفحة 24 - Qu'enfin, la veuve Capet, immorale sous tous les rapports, et nouvelle Agrippine, est si perverse et si familière avec tous les crimes, qu'oubliant sa qualité de mère et la démarcation prescrite par les lois de la nature, elle n'a pas craint de se livrer avec Louis-Charles Capet, son fils, et de l'aveu de ce dernier, à des indécences dont l'idée et le nom seul font frémir d'horreur.