Les 332 victimes de la Commission populaire d'Orange en 1794: d'après les documents officiels, ÇáãÌáÏ 1l'auteur, 1888 |
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
17 juin 26 juin accusation administrateurs âgé Allobroges arrestation arrêté Avignon Bollène Bouches-du-Rhône Cabrières Caderousse Carpentras Carteaux certificat Chièze ci-devant civisme comité de Salut comité de surveillance Commission populaire commune condamné à mort conduite conspiré contre l'unité contre-révolution contre-révolutionnaires Convention nationale coupable Courthézon crime d'Apt d'avoir d'Orange déclaré décrets délibération dénonça déposer détenu devant la Commission district Dossier ennemis Fauvety fédéralistes floréal François frère garde nationale gendarmes greffier guillotine incarcéré Jean-Joseph jour juge de paix juillet juin l'accusateur public l'armée l'échafaud L'Isle l'unité et l'indivisibilité liberté Maignet maire maison d'arrêt mandat d'arrêt mars Marseillais membre du comité messidor mois Montdragon Morel Mornas nommé officier municipal Orange patriotes père pétition prairial président prêtre prévenus prison du Cirque prisons d'Avignon rébellion républicains République révolution révolutionnaire Salut public séance secrétaire sections septembre signé société populaire Sorgues suspect tableau de renseignements témoins tion Tour-d'Aigues toyens tribunal criminel Vaucluse Velleron Venasque victimes Vidaud
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 66 - Sont réputés gens suspects, i° ceux qui , soit par leur conduite, soit par leurs relations , soit par leurs propos ou leurs écrits , se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté ; 2°...þ
ÇáÕÝÍÉ 67 - ... ceux qui, dans les assemblées du peuple, arrêtent son énergie par des discours astucieux, des cris turbulents et des menaces ; 2° ceux qui, plus prudents, parlent mystérieusement des malheurs de la république, s'apitoient sur le sort du peuple, et sont toujours prêts à répandre de mauvaises nouvelles avec une douleur affectée ; 3°...þ
ÇáÕÝÍÉ 424 - Toutes conspirations et complots tendant » à troubler l'État par une guerre civile en » armant les citoyens les uns contre les » autres, ou contre l'exercice de l'autorité » légitime, seront punis de mort.þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - RomanForonsa est un excellent sujet, mais formaliste enragé et un peu loin du point révolutionnaire où il le faudrait; Meilleret, mon quatrième collègue, ne vaut rien , absolument rien au poste qu'il occupe ; il est quelquefois d'avis de sauver des prêtres contre-révolutionnaires ; il lui faut des preuves, comme aux tribunaux ordinaires de l'ancien régime.þ
ÇáÕÝÍÉ 477 - Roman-Fonrosa est un excellent sujet , mais formaliste enragé et un peu loin du poijt révolutionnaire où il le faudrait; Meilleret, mon quatrième collègue, ne vaut rien, absolument rien au poste qu'il occupe ; il est quelquefois d'avis de sauver des prêtres contre-révolutionnaires ; IL LUI FAUT DES PREUVES , comme aux tribunaux ordinaires de l'ancien régime.þ
ÇáÕÝÍÉ 425 - Les biens de ceux qui seront condamnés à la peine de mort seront acquis à la République, et il sera pourvu à la subsistance des veuves et des enfants, s'ils n'ont pas de biens d'ailleurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 425 - Paris ; d'avoir donné asile aux émigrés ; ceux qui auront tenté d'ouvrir les prisons ; ceux qui auront introduit des armes dans Paris, dans le dessein d'assassiner le peuple et la liberté ; ceux qui auront tenté d'ébranler ou d'altérer la forme du gouvernement républicain. La Convention nationale étant investie par le peuple français de l'autorité nationale, quiconque usurpe son pouvoir, quiconque attente à sa sûreté ou à sa dignité, directement ou indirectement, est ennemi du peuple...þ
ÇáÕÝÍÉ 98 - France, tendant soit à faciliter leur entrée dans les dépendances de l'Empire français, soit à leur livrer des villes, forteresses, ports, vaisseaux, magasins ou arsenaux appartenant à la France, soit à...þ
ÇáÕÝÍÉ 76 - Capet, a, en notre présence, subi la peine de mort; et de tout ce que dessus avons fait et rédigé le présent procès-verbal, pour servir et valoir ce que de raison, dont acte. «NAPPIER.þ
ÇáÕÝÍÉ xv - La preuve requise pour la condamnation sont (sic) tous les renseignements, de queltjue nature qu'ils soient, qui peuvent convaincre un homme raisonnable et un ami de la liberté. La règle des jugements est la conscience des juges, éclairée par l'amour de la justice et de la patrie.þ