Parallèle du christianisme et du rationalisme, sous le rapport dogmatique |
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absolue Apul Aristote assez athées atomes attributs aurait bon principe c'est-à-dire cause CHAPITRE chose christianisme Cicéron connaissance conséquent contradiction contraire corps créateur créé croire croyaient croyance culte d'ailleurs d'autres déisme démontrer dieux différence dire divine doctrine dogme doit doute Dupuis effet élémens Entéléchies essence essentiellement éternel évangiles existe force hommes hypothèse idées impossible infinie intel intelligence Jambl Jamblique Jésus Juifs l'âme l'esprit l'éternité l'être l'existence de Dieu l'homme l'infini l'ordre l'univers lois losophes manière d'être matériel matière mauvais principe ment métaphysique métempsycose modifications molécules monde morale mouvemens mouvement mystères n'aurait n'en n'était nature nécessaire pable paganisme panthéisme pensée peuple phénomènes philosophes Platon Plutarque plutôt polythéisme possible pouvait première preuve prouver puisqu'il puissance puisse Pythagore qu'autant qu'un raison rapport religion reste révélation rien s'il sens sentiment serait seul sible Socrate sorte stoïciens substance suivant suppose système tence Thalès théisme Timée Timée de Locres tion universelle vérité Visnou vrai Zoroastre
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ÇáÕÝÍÉ 316 - Spiritus intus alit: totamque infusa per artus ' Mens agitat molem, et magno se corpore miscet ' Inde hominum pecudumque genus vitaeque volantum ' Et quae marmoreo fert monstra sub aequore pontus.þ
ÇáÕÝÍÉ 347 - C'est une chose admirable que jamais auteur canonique ne s'est servi de la nature pour prouver Dieu; tous tendent à le faire croire : David , Salomon , etc.þ
ÇáÕÝÍÉ 342 - ... son âme tout entière s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour 40 jamais, et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.þ
ÇáÕÝÍÉ 238 - Pensée; mais peut-être ne serons-nous jamais capables de connaître si un être purement matériel pense ou non, par la raison qu'il nous est impossible de découvrir par la contemplation de nos propres idées, sans Révélation, si Dieu n'a point donné à quelques amas de matière disposés comme il le trouve à propos, la puissance d'apercevoir et de penser; ou s'il a joint et uni à la Matière ainsi disposée une substance immatérielle qui pense.þ
ÇáÕÝÍÉ 206 - En humectant de la farine avec de l'eau , et en renfermant ce mélange, on trouve au bout de quelque temps, à l'aide du microscope , qu'il a produit des êtres organisés dont on croyait la farine et l'eau incapables. C'est ainsi que la nature inanimée peut passer à la vie, qui n'est elle-même qu'un assemblage de mouvements.þ
ÇáÕÝÍÉ 295 - Proclus , et les plus célèbres philosoplics des derniers siècles, étoient de véritables orphiques. Proclus, dans son commentaire sur le Timée, et dans sa théologie platonicienne, entreprit même de montrer que la doctrine de Platon étoit précisément la même que celle des orphiques. Il a prétendu encore que Pythagore tenoit soii système , non des Egyptiens, mais d'un Aglaophème, prêtre et ministre des orgies de Bacchus.þ
ÇáÕÝÍÉ 239 - ... une substance immatérielle qui pense. Car par rapport à nos notions, il ne nous est pas plus malaisé de concevoir que Dieu peut, s'il lui plaît, ajouter à notre idée de la matière la faculté de penser, que de comprendre qu'il y joigne une autre substance avec la faculté de penser; puisque nous ignorons en quoi consiste la pensée, et à quelle espèce de substance cet être tout-puissant a trouvé à propos d'accorder cette puissance, qui ne saurait être créée qu'en vertu du bon plaisir...þ
ÇáÕÝÍÉ 359 - Continuo auditae voces vagitus et ingens Infantumque animae flentes in limine primo, Quos dulcis vitae exsortes et ab ubere raptos Abstulit atra dies et f unere mersit acerbo.þ
ÇáÕÝÍÉ 239 - ... être créée qu'en vertu du bon plaisir et de la bonté du Créateur. Je ne vois pas quelle contradiction il ya que Dieu, cet être pensant, éternel et tout-puissant, donne, s'il veut, quelques degrés de sentiment, de perception et de pensée à certains amas de matière créée et insensible, qu'il joint ensemble comme il le trouve à propos. » C'était parler en homme profond, religieux et modeste...þ
ÇáÕÝÍÉ 191 - serait inutile et peut-être injuste de demander à un « homme d'être vertueux , s'il ne peut l'être, sans se « rendre malheureux. Dès que le vice le rend heureux , þ