De l'assistance et de l'extinction de la mendicité |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
administrative année appel assurer aujourd'hui aura avantages avons besoins bienfaisance bonne bureau campagnes caractère causes charge charité circonstances classes communes complète compte concours conditions consacrer conseil considérer d'abord d'ailleurs d'autres décret demande département dépenses dépôt dernier destinés devant devoir différentes direction dispositions distribution doit doivent domicile donner effet efforts élevé enfants enfin époque établissements facile famille fonds frais général gouvernement habitants habitudes hospices importantes indigents inspire institutions jeunes jour l'administration l'assistance l'autorité l'État lieu localités maire malades malheureux médecin membres mendiants mendicité ment mère mesures misère morale moyens nature nécessaires Nièvre nombre organisés ouvriers particuliers pauvres personnes peuvent place populations porte position pourrait préfet première présent prévoyance privée produit publics publique qu'à qu'une raison rapport règles religieux réserve ressources reste s'il secours sentiment sera seront service seul société soins somme sort soulagement souscriptions souvent spéciale succès suivant surtout surveillance tion travail trouvés véritable villes
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 176 - ... acquérir, suivant les formes et après l'accomplissement des formalités prescrites par la loi du 3 mai 1841, la totalité des propriétés comprises dans le périmètre des travaux.þ
ÇáÕÝÍÉ 242 - En cas de danger imminent, attesté par le certificat d'un médecin ou par la notoriété publique, les commissaires de police à Paris, et les maires dans les autres communes, ordonneront, à l'égard des personnes atteintes d'aliénation mentale, toutes les mesures provisoires nécessaires, a la charge d'en référer dans les vingt-quatre heures au préfet, qui statuera sans délai.þ
ÇáÕÝÍÉ 380 - S'ils ont été arrêtés hors du canton de leur résidence, ils seront punis d'un emprisonnement de six mois à deux ans. Art. 276 : Tous mendiants même invalides qui auront usé de menaces ou seront entrés, sans permission du propriétaire ou des personnes de sa maison, soit dans une habitation, soit dans un enclos en dépendant, ou qui feindront des plaies ou infirmités, ou qui mendieront en réunion, à moins que ce ne soient le mari et la femme, le père ou la mère et leurs jeunes enfants,...þ
ÇáÕÝÍÉ 197 - Seront visés pour timbre et enregistrés gratis les actes de procédure et les jugemens à la requête du ministère public, ayant pour objet , 1° de réparer les omissions, et faire les rectifications sur les registres de l'état civil, d'actes qui intéressent les individus notoirement...þ
ÇáÕÝÍÉ 180 - ... la création d'établissements modèles pour bains et lavoirs publics gratuits ou à prix réduits...þ
ÇáÕÝÍÉ 254 - Les enfants trouvés sont ceux qui, nés de père et mère inconnus, ont été trouvés exposés dans un lieu quelconque, ou portés dans les hospices destinés à les recevoir.þ
ÇáÕÝÍÉ 32 - Toute personne qui aura été trouvée mendiant dans un lieu, pour lequel il existera un établissement public organisé afin d'obvier à la mendicité sera punie de trois à six mois d'emprisonnement et sera après l'expiration de sa peine, conduite au dépôt de mendicité.þ
ÇáÕÝÍÉ 74 - Tout travail entre neuf heures du soir et cinq heures du matin est considéré comme travail de nuit. Tout travail de nuit est interdit pour les enfants au-dessous de treize ans.þ
ÇáÕÝÍÉ 33 - MKSDIANTS. 277. Tout mendiant ou vagabond qui aura été saisi travesti d'une manière quelconque, Ou porteur d'armes, bien qu'il n'en ait usé ni menacé, Ou muni de limes, crochets ou autres instruments propres soit à commettre des vols ou d'autres délits, soit à lui procurer les moyens de pénétrer dans les maisons, Sera puni de deux à cinq ans d'emprisonnement.þ
ÇáÕÝÍÉ 25 - ... l'époque du premier établissement des travaux de secours. Tout citoyen qui sera convaincu d'avoir donné à un mendiant aucune espèce d'aumône, sera condamné, par le juge de paix, à une amende de la valeur de deux journées de travail : l'amende sera double en cas de récidive.þ