Collection des mémoires relatifs à lh̓istoire de France...

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Claude Bernard Petitot, Petitot (M., Claude-Bernard), Alexandre Petitot, Louis-Jean-Nicolas Monmerqué
Foucault, 1822
 

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عبارات ومصطلحات مألوفة

مقاطع مشهورة

الصفحة 117 - Sarrazins, car ils estoient déja assez éloignés quand cela advint ; mais on dit que les parens et amys du capitaine Magdalon et Michelet firent cette fougade , et le dépit semblablement du sieur de Grignan, de la fausse marchandise, car on y vit de ses gens qui faisoient office et devoir de sacments. Toutesfois on rejetta cette méchanceté sur le pauvre Barberousse, pour soutenir l'honneur et la reputation de France, voire de la chrestienté.
الصفحة 384 - Luxembourg et les pays qui sont au dessoubs jusques à Brucelles; plus, vous faire maistre à la longue de tant de belles et grandes villes que l'on a arrachées des fleurons de vostre couronne, et de recouvrer pareillement la souveraineté de Flandres que l'on vous a si frauduleusement ravie, qui appartient aux roys de France il ya plus de mille ans, et de toute immémoriale ancienneté.
الصفحة 424 - France ; et suivant la coustume de ses predecesseurs, mist pied à ' terre pour adorer. A l'issue de là, il deffendist que personne entrast en la ville que les officiers de sa maison et de quelques princes et favoris, avec les munitionnaires ; de façon qu'elle fust conservée comme si elle eust esté en vray cœur de France. Or, encores que le Roy y eust trouvé une abondance infinie de vivres, et d'aultres grandes commoditez pour son armée, si ne prenoit-il pas plaisir d'entrer ainsi parla force...
الصفحة 194 - Estat; et ne fault doubler que, espouzant la niepce ou la fille de l'empereur, qui luy donnoit, mariaige faisant, les Pays-Bas et la duché de Milan, et le feu Roy la duché de Bourgongne, ainsi qu'il fut proposé au traité de paix commencé en l'abbaye de Sainct...
الصفحة 197 - Lambale ou aux Essarts, qui la désarme maintenant de ses pierreries et riches joyaulx. « Et vous-même, Sire, ne luy eussiez pas osté le diamant de cinquante mille escus, tant celebré en France; car il s'en fust pieça(')saezy, pour le donner à la fille de l'Empereur, sa maîtresse , à laquelle il estoit desja voué, et dès aussi-tos-t que la paix fut conclue à Chasteau-Thierry.
الصفحة 196 - Estais de son appanaige, et gaigné les cœurs des subjets de tant de pays que luy apportoit sa future espouse, nous départirions teste à teste la chrestienté. — II estoit encore plus trahistre , respond M. le mareschal, de vous engeoller de ceste promesse ; car il avoit fait ligue avec le prince d'Espaigne pour vous courre sus après la mort de vos peres, et faire beaucoup de mal ; car il en eust eu, s'il eust vescu, un trèspuissant moyen.
الصفحة 209 - Davantage , y at-il gentilhomme en France que mon cousin le prince de La Roche-sur Yon affectionne plus que M. de Vieilleville , ny à qui il soit plus obligé? Toutesfois , dernièrement que le feu Roy luy donna des gendarmes , il ne voulut pas luy offrir sa lieutenance, craignant de luy faire tort ou desplaisir ; seulement le pria de luy donner ung lieutenant , et qu'il en vouloit avoir ung de sa main. Alors M. de Vieilleville luy nomma La Boulaye...
الصفحة 283 - MM. les connestable et d'Aumalle , et la pluspart de ces seigneurs, en avoient. Mais, comme ils vouloient marcher encores plus oultre, M. le connestable pria M. de Vieilleville de se retirer avec sa troupe, et luy disant adieu, et remerciant de son bon traitement, luy fist de bonnes et grandes offres , M. d'Aumalle semblablement , et tous ces seigneurs en particulier , qui prindrent la routte de Poictiers. CHAPITRE XVI. M. de Vieilleville mène à Saintes la compagnie du maréchal de Saint-André.
الصفحة 28 - ... ils estoient, environ soixante milles. Ce que fit le sieur de Monica : et le trompette de retour amena deux gentilshommes de la part de M. de Lautrec, qui apporterent ce qui étoit requis pour sa liberté. Mais parce que ledit sieur de Monica avoit oublié de specifier la ranson et depens de l'autre, M.
الصفحة 76 - ... lettres de M. de Vieilleville, qui furent si secrettement baillées par le courrier , que jamais le marquis ny pas un des siens n'en eurent connoissance , encore que. incontinant qu'il fut entré en France , il les eust mis , comme Italien , fort soigneusement aux escoutes pour découvrir ses corrivaulx et leur couper chemin , ne doutant point qu'une telle et si rare perle ne deust estre fort affectueusement recherchée. Les lettres de M. de Vieilleville contenoient que la Cour estoit abbrevée...

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