Histoire de m. Émery et de lʾéglise de France pendant la révolutionSociété générale de librairie catholique, 1885 |
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âme appelé archevêque avaient avez Baltimore bourreaux Carmes catholique cher chrétienne citoyens civile du clergé club des Jacobins cœur collège comité communauté Compagnie de Saint-Sulpice Conciergerie condamnés conseil consolation constitution civile Convention Convention nationale courage culte curé déclaration décret demande députés devant dévouement Dieu diocèse directeurs donner ecclésias ecclésiastique écrit élèves Émery envoyé esprit évêques fidèles Fouquier-Tinville frère général gouvernement haine hommes j'ai jacobins jansénistes Jésus-Christ jeunes jour l'abbé l'Assemblée nationale l'échafaud l'Église l'esprit l'évêque laisser Leibniz lettre liberté Mâcon maison Maryland massacre Maury membres ment mère Agnès Messieurs Mgr Carroll ministère Mme de Villette Monsieur mort Nagot naire Olier parole pays de Gex pendant pensée persécution peuple piété pouvait prêter le serment prêtres de Saint-Sulpice prières prison prisonniers Providence refus religieux religion Révolution Robespierre saint Saint-Siège sang section du Luxembourg séminaire Saint-Sulpice sentiments serait soumission supérieur Talleyrand théologie tiers état tion tribunal révolutionnaire vicaire victimes voulait zèle
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ÇáÕÝÍÉ 161 - Et par les soldats, entre les mains de leurs officiers, d'être fidèles à la nation, à la loi, au Roi et à la constitution; de n'abandonner jamais leurs drapeaux, et d'observer exactement les règles de la discipline militaire.þ
ÇáÕÝÍÉ 317 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple : actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière...þ
ÇáÕÝÍÉ 390 - Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée et que j'ai toujours professée, n'ayant aucune consolation spirituelle à attendre...þ
ÇáÕÝÍÉ 390 - Dieu de toutes les fautes que j'ai pu commettre depuis que j'existe ; j'espère que dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu'il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté.þ
ÇáÕÝÍÉ 390 - J'avais des amis ; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant ; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur!þ
ÇáÕÝÍÉ 444 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentans, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes...þ
ÇáÕÝÍÉ 398 - Ceux qui plaignent les fermiers et marchands avides contre lesquels la loi est obligée de prendre des mesures. 5) Ceux qui, ayant toujours les mots de Liberté, République et Patrie sur les lèvres, fréquentent les ci-devant nobles, les prêtres contrerévolutionnaires, les aristocrates, les feuillants, les modérés et s'intéressent à leur sort.þ
ÇáÕÝÍÉ 234 - N'avons-nous pas sur lui le droit qu'il s'est donné? Le devoir le plus saint, la loi la plus chérie, .Est d'oublier la loi pour sauver la patrie.þ
ÇáÕÝÍÉ 204 - Le président appelle d'abord M. de Bîmnac, évêque d'Agen. « Messieurs, dit le prélat au milieu du plus profond silence, les sacrifices de la fortune me coûtent peu ; mais il en est un que je ne saurais faire, celui de votre estime et de ma foi ; je serais trop sûr de perdre l'une et l'autre , si je prêtais le serment qu'on exige de moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 444 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.þ