...oppressé, j'ai }e» ' yeux gonfles de larmes. Jamais être humain n'éprouva t.vnt de maux à la fois. Je me tais, je souffre , et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous ! Du moins je respirerais. Je voit» embrasse. 'A. M. D'IVERNOIS. 169 A M. D'IVE RN OI S. A Motiers , le 17 janvier...

...offusquera presque toujours le bien ; et, malgré cela, j'ai peine à croire qu'aucun de mes lecleursose se dire, je suis meilleur que ne fut cet homme-là....je respirerois. Je vous emhrasse. A M. D'IVERNOIS. Motiera, le 17 janvier 1765 Votre lettre, monsieur, du 9 de ce mois ne m'est parvenue qu'hier, et très...

...offusquera presque toujours le bien; et, malgré cela, j'ai peine à croire qu'aucun de mes lecteurs ose se dire : Je suis meilleur que ne fut cet homme-là....larmes; jamais être humain n'éprouva tant de maux à la fois. Je me tais, je souffre , et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous! du moins je respirerais....

...offusquera presque toujours le bien; et, malgré cela, j'ai peine à croire qu'aucun de mes lecteurs ose se dire : Je suis meilleur que ne fut cet homme-là....larmes; jamais être humain n'éprouva tant de maux à la fois. Je me tais, je souffre, et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous! du moins je respirerais....

...offusquera presque toujours le bien; et, malgré cela, j'ai peine à croire qu'aucun de mes lecteurs ose se dire : Je suis meilleur que ne fut cet homme-là....souffre, et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous 1 du moins je respirerois. Je vous embrasse. ll'^ ll^./^'l.'*'*- «^^». •'»'» !!/«'«.. ^'«-^...

...offusquera presque toujours le bien; et, malgré cela, j'ai peine à croire qu'aucun de mes lecteurs ose se dire, Je suis meilleur que ne fut cet homme-là....auprès de vous! du moins je respirerois. Je vous embrasse. 639.—A M. D'IVERJSOIS. Motiers, le 17 janvier iy65. Votre lettre, monsieur, du 9 de ce...

...offusquera presque toujours le bien ; et, malgré cela, j'ai peine à croire qu'aucun de mes lecteurs ose dire, Je suis meilleur que ne fut cet homme-là. Cher...larmes ; jamais être humain n'éprouva tant de maux à la fuis. Je me tais, je souffre, et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous I du moins je respirerois....

...offusquera presque toujours le bien ; et, malgré cela, j'ai peine à croire qu'aucun de mes lecteurs ose se dire : « Je suis meilleur que ne fut cet homme-là....larmes ; jamais être humain n'éprouva tant de maux à la fois. Je me tais, je souffre, et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous ! du moins je respirerois....

...vient de paraître à Genève », à la lin de sa lettre, brusquement, il lui ouvre son cœur : « Cher ami, j'ai le cœur oppressé, j'ai les yeux gonflés...larmes ; jamais être humain n'éprouva tant de maux à la fois. Je me tais, je souffre et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous I du moins je respirerais....

...vient de paraître à Genève », à la fin de sa lettre, brusquement, il lui ouvre son cœur : « Cher ami, j'ai le cœur oppressé, j'ai les yeux gonflés...larmes ; jamais être humain n'éprouva tant de maux à la fois. Je me tais, je souffre et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous ! du moins je respirerais....