Anthology of French poetry from the time of Froissart up to the beginning of the present centurySwan Sonnenschein and Company, lim., 1906 - 285 من الصفحات |
طبعات أخرى - عرض جميع المقتطفات
عبارات ومصطلحات مألوفة
Adieu aimer ALPHONSE DE LAMARTINE amant âme amour Apollon baiser BALLADE beau beauté bel âge belle bergère bois bouche CHANSON chante charmes château d'If chère ciel cieux cœur crépuscule d'or Dieu dieux divin dors douce douleur doux enfant éternelle Eugène Fasquelle feuillage flamme fleurs flots FRAGMENT front gloire hameau hélas j'ai j'aime j'ay jamais JEAN RICHEPIN jour l'air l'amour l'aurore L'AUTRE NUIT l'Azur l'ombre l'onde Lantirli dondé lèvres main maison Marguerite monde mort mourir murmure neige nuit ô gué oiseaux pâle parfums passe PAUL VERLAINE pauvre PIERRE DE RONSARD plaine plaisir pleurs Plume Bibliothèque artistique Poèmes printemps Publié par Eugène qu'un Rappelle-toi rayons rêve rien ROBERT GARNIER rose roseaux rouet Rue de Condé Rue de Grenelle ruisseau saigne sanglots seul sœur soir soleil sommeil songe SONNET souffre sourire souris STUART MERRILL tendre THÉOPHILE GAUTIER toc,-le tombe tombeau triste vent veux vieux vois voix yeux
مقاطع مشهورة
الصفحة 223 - JE fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
الصفحة 52 - Rome, l'unique objet de mon ressentiment! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant! Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore! Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore! Puissent tous ses voisins ensemble conjurés Saper ses fondements encore mal assurés!
الصفحة 20 - Plus me plaist le séjour qu'ont basty mes ayeux, Que des palais romains le front audacieux : Plus que le marbre dur, me plaist l'ardoise fine. Plus mon Loyre gaulois, que le Tybre latin, Plus mon petit Lyre, que le mont Palatin Et plus que l'air marin, la douceur angevine.
الصفحة 137 - COMBIEN j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux, ces jours De France ! O mon pays, sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère ? Et nous baisions ses blancs cheveux, Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore...
الصفحة 145 - Et sur un âne, pas à pas, Parcourait son royaume. Joyeux, simple et croyant le bien, Pour toute garde il n'avait rien Qu'un chien.
الصفحة 152 - S'éveillant avec la nature, Le jeune oiseau chantait sur l'aubépine en fleurs, Sa mère lui portait la douce nourriture : Mes yeux se sont mouillés de pleurs.
الصفحة 246 - UN couchant des Cosmogonies ! Ah ! que la Vie est quotidienne . . . Et, du plus vrai qu'on se souvienne, Comme on fut piètre et sans génie. . . . On voudrait s'avouer des choses, Dont on s'étonnerait en route, Qui feraient une fois pour toutes ! Qu'on s'entendrait à travers poses. On voudrait saigner le Silence, Secouer l'exil des causeries ; Et non ! ces dames sont aigries Par des questions de préséance.
الصفحة 20 - Heureux qui, comme Ulysse*, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la toison*, Et puis est retourné, plein d'usage...
الصفحة 184 - L'enclos plein de lumière, La haie en fleur, le petit bois, La ferme et la fermière ! Si Dieu, comme notre curé Au prône le répète, Paie un bienfait (même égaré), Ah ! qu'il songe à ma dette ! Qu'il prodigue au vallon les fleurs. La joie à la chaumière, Et garde des vents et des pleurs La ferme et la fermière ! Chaque hiver, qu'un groupe d'enfants A...
الصفحة 145 - On conserve encor le portrait De ce digne et bon prince ; C'est l'enseigne d'un cabaret Fameux dans la province. Les jours de fête, bien souvent, La foule s'écrie en buvant Devant : Oh ! oh! oh! oh!