...moins catégorique : Depuis le divorce de Napoléon, j'ouvre chaque gazette de Francfort dans I idée d'y trouver la nomination de la nouvelle épouse,...elle seule sait ce qui peut nous rendre heureux. Mais si le malheur vouloit, je suis prête à sacrifier mon bonheur particulier au bien de l'état, persuadée...

...date du 23 janvier 1809, et qui doit être reportée au 23 janvier 1810, elle s'exprimait ainsi : « Depuis le divorce de Napoléon, j'ouvre chaque Gazette...Providence; elle seule sait ce qui peut nous rendre heureux. » A la même date, elle écrivait à M"" de Poutet : « Je sais que l'on me marie déjà à Vienne...

...pauvre princesse, c'est elle-même; elle se résigne. Marie-Louise était née pour, la résignation. Depuis le divorce de Napoléon, j'ouvre chaque gazette...involontaires; je remets mon sort entre les mains de la Providence, elle seule sait ce qui peut nous rendre heureux. Mais, si le malheur voulait, je suis prête...

...sacrifice de sa personne au bien de sa patrie. C'est ainsi que le 23 février elle écrivait d'Ofen : « Depuis le divorce de Napoléon j'ouvre chaque gazette...elle seule sait ce qui peut nous rendre heureux. Mais si le malheur voulait, je suis prête à sacrifier mon bonheur particulier au bien de l'État, persuadée...

...au Minotaure2 ». Dans une lettre à sa chère Victoire, elle exprimait ainsi sa résignation : « Depuis le divorce de Napoléon, j'ouvre chaque Gazette...retard me cause des inquiétudes involontaires; je remet (sic) mon sort entre les mains de la divine Providence, elle seule sait ce qui peut nous rendre...

...deviendrai la victime de la politique. » Le 22-23 janvier, elle écrit encore à son ancienne aja : « Depuis le divorce de Napoléon, j'ouvre chaque gazette...seule sait ce qui peut nous rendre heureux. Mais, si le malheur voulait, je suis prête à sacrifier mon bonheur particulier au bien de l'État, persuadée...

...pauvre princesse, c'est elle-même, elle se résigne. Marie-Louise était née pour la résignation. Depuis le divorce de Napoléon, j'ouvre chaque gazette...involontaires; je remets mon sort entre les mains de la Providence, elle seule sait ce qui peut nous rendre heureux. Mais, si le malheur voulait, je suis prête...

...Napoléon, écrit-elle, j'ouvre chaque Gazelle de Francfort dans l'idée d'y trouver la nouvelle de la nomination de la nouvelle épouse, et j'avoue que...elle seule sait ce qui peut nous rendre heureux, mais si le malheur voulait, je suis prête à sacrifier mon bonheur particulier au bien de l'État, persuadée...