Mélanges historiques et littéraires, المجلد 1

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الصفحة 30 - Il ya néanmoins un verum tamen dont j'ap« prébende qu'il n'ait à rendre compte à Dieu : c'est « qu'il n'a pas le courage de rien représenter au roi. « C'est le génie du temps , même à l'égard de ceux qui
الصفحة 142 - ... naturels pour faire la guerre et diriger les soldats : il était âgé de trente-quatre ans. Les paysans l'adoraient, et lui portaient le plus grand respect. Il avait depuis longtemps une grande réputation de piété et de régularité; tellement que les soldats l'appelaient le saint d'Anjou , et se plaçaient, quand ils le pouvaient, auprès de lui dans les combats, pensant qu'on ne pouvait être blessé à côté d'un si saint homme. Quand M. de Lescure fut à l'armée , il fut aussi surnommé...
الصفحة 60 - Commines, abusant de la familiarité qui régnait entre le comte et lui , avait réclamé ensuite le même service de sa complaisance ; le prince , mécontent de ce manque de respect, l'avait frappé de sa botte à la tête, d'où lui était resté le surnom de tête bottée (i).
الصفحة 143 - Boisy et Duhoux arrivèrent successivement, et se rangèrent au même avis. M. d'Elbée, qui avait été retenu par sa blessure, vint aussi deux jours après , et approuva ce qui avait été fait. La nomination de Cathelineau était convenable en tous points ; c'était, de tous les chefs, celui qui exerçait le plus d'influence sur les paysans ; il avait...
الصفحة 143 - ... sur les paysans ; c'était lui qui avait commencé la guerre, soulevé le pays et gagné les premières batailles; c'était un homme rempli de sens et de modestie; l'on était assuré qu'il rechercherait toujours avec déférence les conseils des gens prudents. En outre, nommer général en chef un simple paysan était une démarche politique, au moment où l'esprit d'égalité et un vif sentiment de jalousie contre la noblesse contribuaient en grande partie au mouvement révolutionnaire : c'était...
الصفحة 168 - Il portait dans son habit de pieuses images. Il faisait des sermons et des exhortations aux soldats, et surtout il parlait toujours de la Providence : au point que les paysans, bien qu'ils l'aimassent beaucoup, et qu'ils respectassent tout ce qui tenait à la religion, l'avaient, sans y entendre malice, surnommé le général la Providence.
الصفحة 76 - choses, comme contes, histoires, discours et beaux mots « qu'on ne dédaignera pas, s'il me semble, lire si on ya mis « une fois la vue. Qu'on prenne sur mon hérédité l'argent « qu'en pourra valoir l'impression, qui, certes, ne se pourra
الصفحة 266 - ... son zèle pour la religion. Quand l'abbé Bernier fut devenu de la sorte un des premiers personnages de l'armée, on commença à le juger autrement : on entrevit un but d'ambition dans toute sa conduite ; on aperçut combien il jouissait de la domination qu'il avait acquise, combien il cherchait à la rendre absolue; on découvrit qu'il semait la discorde partout, flattant les uns aux dépens des autres, pour plaire davantage et gouverner plus sûrement. Souvent les généraux furent obligés...
الصفحة 14 - Il n'eu est point qui attire plus à la religion, qui la fasse aimer davantage, qui pénètre plus dans le cœur de l'homme. Il a été surnommé le Docteur de la grâce , et les peintres, dans leurs tableaux , lui ont donné pour symbole un cœur enflammé.
الصفحة 389 - On ne lui rendit les sceaux qu'en 1 737 ; il crut alors devoir se renfermer dans les fonctions de ministre de la Justice.; jusqu'à la fin de sa vie, il fut aussi étranger aux affaires d'État qu'aux intrigues de Cour. Ses travaux eurent surtout pour but de perfectionner notre législation , non pour la réformer ni en changer le fond , mais pour en déterminer le véritable esprit et en rendre l'exécution uniforme par toute la France.

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