Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, المجلد 1Verdière, 1817 |
طبعات أخرى - عرض جميع المقتطفات
عبارات ومصطلحات مألوفة
aime anciens Aristote assez Athènes Athéniens avez beau beautés Catilina Caton César chant chose Cicéron citoyens cœur Crassus crime David Démosthène devant Diderot Dieu dieux dire discours divine doit donner écrit écrivains enfans ennemis Eschine Eschyle espèce Euripide eût génie genre gloire goût Grecs Hécube Homère homme Horace idées j'ai jamais jugement Juvénal l'art l'auteur l'autre l'éloquence l'esprit l'homme l'Iliade l'orateur l'un laisse langue latin long-temps lui-même malheur Ménélas ment mérite mieux mœurs morale morceau mort n'en n'était Néron orateurs ouvrages Ovide parler parole passer passion pensée père peuple Philoctete philosophie pièce plaisir Platon Plaute Plutarque poëme poésie poëte pouvait premier psaume qu'un Quintilien raison reproche république reste rien Romains Rome s'il sait Salluste satire scène semble sénat Sénèque sentimens sentir serait seul siècle Socrate Sophocle sorte souvent style sublime sujet surtout talent théâtre tion Tite-Live tragédie traits trouve vérité Verrès vertu veut Virgile Voilà Voltaire vrai
مقاطع مشهورة
الصفحة 222 - N'importe , lève-toi. — Pourquoi faire , après tout ? — Pour courir l'Océan de l'un à l'autre bout , Chercher jusqu'au Japon la porcelaine et l'ambre, Rapporter de Goa
الصفحة 180 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
الصفحة 24 - II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels , et craint même des dieux...
الصفحة 305 - Paraît digne à vos yeux d'une autre récompense, Si d'une mère en pleurs vous plaignez les ennuis, J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant un sévère destin Si près de ma naissance en eût marqué la fin.
الصفحة 308 - Prenez garde, seigneur : vos invincibles mains Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un...
الصفحة 116 - M'ont d'avance affranchi de l'horreur de te voir. Vers Thébe sur tes pas ton camp se précipite : J'attache à tes drapeaux l'épouvante et la fuite. Puissent tous ces sept chefs , qui t'ont juré leur foi , Par un nouveau serment s'armer tous contre toi ! Que la nature entière à tes regards perfides S'éclaire en pâlissant du feu des Euménides...
الصفحة 127 - C'est la faute des dieux, et non pas des mortels. De toute la vertu sur la terre épandue, Tout le prix à ces dieux, toute la gloire est due.
الصفحة 153 - J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse.
الصفحة 304 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
الصفحة 47 - L'ennemi tortueux dont il est entouré. Le sang tombe des airs. Il déchire, il dévore Le reptile acharné qui le combat encore; II le perce, il le tient sous ses ongles vainqueurs; Par cent coups redoublés il venge ses douleurs. Le monstre en expirant se débat, se replie; II exhale en poisons les restes de sa vie; Et l'aigle tout sanglant, fier, et victorieux, Le rejette en fureur, et plane au haut des cieux.