...chez Mad. de Marchais "où f'étois, et on lui parla d'abord de la perte qu'elle "venoit de faire. Hélas! il est mort ce soir à six " heures : sans cela vous ne me verrie^ pas ici. Ce furent ses "propres paroles, et elle soupa comme à son ordinaire» " c'est-à.dire...

...chez madame de » Marchais, où j'étais ; et on lui parla »" de la perte qu'elle venait de faire. » Hélas ! il est mort ce soir à six heures , » sans cela , vous ne me verriez pas ici. » Ce furent ses propres paroles ; et elle » soupa comme à son ordinaire , c'est» à-dire fort bien...

...chez madame de Marchais où j'étais , et on lui parla d'abord de la perte qu'elle venait de faire. Hélas! il est mort ce soir à six heures : sans cela vous ne me verriez pas ici. Ce furent ses propres paroles, et elle soupa comme à son ordinaire , c'est-àdire fort bien; car elle...

...vint souper chez M"1". Marchais où » j'étais ; on lui parla de la perte qu'elle venait de faire. » Hélas ! Il est mort ce soir à six heures ; sans cela vous ne » me verriez pai iei. Et elle soupa comme à sou ordinaire , Monsieur, qui ne m'avez jamais aimé qu'eu passant...

...vint souper chez Mme. Marchais où » j'étais ; on lui parla de la perte qu'elle venait de faire, )> Hélas ! Il est mort ce soir à six heures ; sans cela -vous ue » me verriez pas ici. lit elle soupa comme à son ordinaire , Monsieur, qui ne m'avez jamais aimé...

...où quelqu'un lui ayant parlé de la perte qu'elle venait de faire : a Hélas! dit-elle, il est nlort ce » soir à six heures; sans cela vous » ne me verriez pas ici. » Etaprès ce tendre propos, elle soupa de très bon appétit. Un bon souper était pour elle la meilleure...

...souper chez madame de Marchais; on lui parla de la perte qu'elle venait de faire. « Hélas! dit -elle, il est mort ce « soir à six heures; sans cela vous ne me verriez « pas ici. « Après ce tendre propos, elle soupa fort bien ;-mais il faut toujours se défier un peu des anecdotes....

...du Marchais. On la plaint, on lui parle de l'ami qu'elle vient de perdre. — Hélas ! répondelle , il est mort ce soir à six heures ; sans cela vous ne me verriez pas ici. Elle soupa fort bien. Voltaire, chargé d'ans et de lauriers a vu la mort interrompre ses immenses...

...même, du comte de Pont-dé- Veyle avec qui elle vivait depuis quarante ans, dit ce mot singulier : Hélas! il est mort ce soir à six heures; sans cela vous ne me verriez pas ici. Et La Harpe, qui était un des convives , raconte a qu'elle soupa comme « k son ordinaire , c'est-à-dire...

...compagnie chez Madame de Marchais, où j'étais ; et on lui parla de la perte qu'elle venait de faire. Hélas ! il est mort ce soir à six heures ; sans cela, vous ne me verriez pas ici. Ce furent ses propres paroles ; et elle soupa comme à son ordinaire, c'est-à-dire fort bien ; car...