Oeuvres complétes de Condillac, ÇáãÌáÏ 10Lecointe et Durey, 1822 |
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abus Aëtius Alaric Anthémius apôtres ariens Aristobule armées armes Auguste avaient Barbares c'était catholiques choses chré chrétiens citoyens concile condamné conduite Constance Constantin Constantinople croyait culte d'Alexandrie d'Honorius Dieu dieux Dioclétien doctrine donner églises Égypte empereurs ennemis erreurs esséniens eût évêques faisait fils force Gaïnas Galba gardes prétoriennes Gaules général Germanie Goths gouvernement guerre hérésies hérétiques hommes Honorius Huns Jésus-Christ juger Juifs l'Asie l'Église l'em l'empereur l'empire l'Orient laissa légions lois lorsqu'il lui-même Magnence maître Marc-Aurèle Maximien Hercule Maximin ment ministres miracles mœurs mort mourut n'avait n'était nations Néron Othon païens paix paraissait Parthes père persécution Perses peuples philosophes piété Platon pouvait préfet du prétoire premier prince prit prophéties provinces règne religion Ricimer Romains Rome ruine s'était saint sectes sénat serait seul Sévère siècle sincrétisme soldats souverains Stilicon surtout taient talens tantin temple Théo Théodose Thrace tion Trajan troupes trouver Valens Valentinien Vandales Vespasien vices Vitellius voulait
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ÇáÕÝÍÉ 194 - les nations. Il montre bien quelle est sa confiance lorsqu'il dit : Quiconque me confessera 'devant les hommes, je le confesserai devant mon père qui est dans les deux ; et quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon père qui est dans les deux. C'est surtout par les apôtres que cetteþ
ÇáÕÝÍÉ 82 - supporter qu'en s'épuisant de plus en plus. C'est néanmoins dans ces circonstances que le faste asiatique s'introduisit à la cour des empereurs ; faste qui coûtera quelquefois aux peuples autant que l'entretien même des armées. Alors Rome cessa d'être le centre des richesses de l'empire, parce que les empereurs n'y vinrent presque plus : elleþ
ÇáÕÝÍÉ 171 - Dieu de Dieu, comme une lumière allumée d'une autre lumière. Ainsi ce qui procède de Dieu est Dieu, fils de Dieu, et les deux ne sont qu'un. Ce Verbe, commeþ
ÇáÕÝÍÉ 171 - engendré; et c'est pourquoi il est nommé fils de Dieu. Quand le soleil pousse un rayon, la substance n'est pas séparée, mais étendue. Ainsi le Verbe est esprit d'un esprit,þ
ÇáÕÝÍÉ 139 - Pierre vint établir son siège à Rome, après l'avoir tenu sept ans à Antioche , et avoir prêché aux Juifs dispersés dans le Pont, la Galatie, la Cappadoce, l'Asie et la Bithynie.þ
ÇáÕÝÍÉ 127 - grands intérêts où il s'agit de leur fortune et de leur vie. C'est ce qui a dû arriver dans le premier siècle, sous les règnes de Tibère, de Caligula, de Claude, de Néron et de Domitien.þ
ÇáÕÝÍÉ 192 - marchent, les lépreux sont guéris, les sourds entendent, les morts ressuscitent. Les miracles que les apôtres voyaient, et dont les plus simples et les plusþ
ÇáÕÝÍÉ 117 - pas à votre maître simplement par la vue des récompenses; obéissez sans intérêt, et sans espérer aucun fruit de vos travaux. Cet excès de spiritualité est déjà une erreur; car il n'est pas dans la nature de l'homme de renoncer à tout intérêt; et Dieu n'exige pas de nous un culte absolument désintéressé, puisqu'il nous offre lui-même desþ
ÇáÕÝÍÉ 83 - Mais, lorsque ce prince eut accoutumé les légions à l'obéissance, « les armées n'étant plus en état « de déposer les empereurs, de piller les peuples, « et de se faire donner arbitrairement desþ
ÇáÕÝÍÉ 91 - pour venir s'édifier à la vue de vos saintes œuvres. Prince aveugle, vous ne sentirez pas combien leur conduite est en contradiction avec leur langage : vous ne remarquerez pas seulement que les hommes qui vous louent d'être toujours au pied des autels oublient eux-mêmes que leur devoir est d'y être. Vous prendrez insensiblement leur place, pour leur Céder la vôtre; vous prierezþ