Tableau de l'empire romain depuis la fondation de Rome jusqu'à la fin du gouvernement impérial en Occident

ÇáÛáÇÝ ÇáÃãÇãí
Didier, 1872 - 476 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ

ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ

ÇáÕÝÍÉ 28 - La ville déchirée ne forma plus un tout ensemble ; et comme on n'en était citoyen que par une espèce de fiction, qu'on n'avait plus les mêmes magistrats, les mêmes murailles, les mêmes dieux, les mêmes temples, les mêmes sépultures, on ne vit plus Rome des mêmes yeux, on n'eut plus le même amour pour la patrie, et les sentiments romains ne furent plus.þ
ÇáÕÝÍÉ 364 - Ceterum Germaniae vocabulum recens et nuper additum, quoniam, qui primi Rhenum transgressi Gallos expulerint, ac nunc Tungri, tune Germani vocati sint. Ita nationis nomen non gentis evaluisse paulatim, ut omnes primum a victore ob metum, mox a se ipsis invento nomine Germani vocarentur.þ
ÇáÕÝÍÉ iii - The Fall of Rome and the Rise of the New Nationalities. A Series of Lectures on the Connection between Ancient and Modern History.þ
ÇáÕÝÍÉ 427 - Les esclaves ne sont pas classés comme chez nous et attachés aux différents emplois du service domestique. Chacun a son habitation , ses pénates qu'il régit à son gré. Le maître leur impose , comme à des fermiers, une certaine redevance en blé, en bétail, en vêtements; là se borne la servitude.þ
ÇáÕÝÍÉ 67 - tes. » Trois mille colons furent. envoyés à Carthagc ; le reste fut pris dans le pays voisin et adjoint à la colonie. César eut encore le temps de s'occuper des associations religieuses qui s'étaient propagées outre mesure à la faveur du désordre ; il les contraignit de se dissoudre, à l'exception de quelques-unes, qui tenaient aux religions d'Orient, et qu'il voulait ménager : les corporations juives figurèrent dans l'exception *. Telles furent les lois portées ou projetées par César...þ
ÇáÕÝÍÉ 240 - Partout, dit-il, on chasse le peuple, il « n'a plus d'héritage ; ce qui suffisait à la nourriture « d'une cité est le parc à bétail d'un seul maître. Les « riches sont comme les rois ou comme les nations, « il leur faut pour frontières des fleuves et des þ
ÇáÕÝÍÉ 13 - Athènes sont-elles tombées, malgré la gloire de leurs armes, si ce n'est pour avoir toujours exclu de leur sein les vaincus, tandis que notre fondateur Romulus, bien plus sage, vit la plupart de ses voisins, le matin ses ennemis, le soir ses concitoyens?þ
ÇáÕÝÍÉ 314 - Au reste, si les lois romaines ont paru si saintes, que leur majesté subsiste encore malgré la ruine de l'empire, c'est que le bon sens, qui est le maître de la vie humaine, y règne partout, et qu'on ne voit nulle part une plus belle application des principes de l'équité naturelle.þ
ÇáÕÝÍÉ 82 - Le nouvel ordre de choses ne déplaisait pas non plus aux provinces, qui avaient en défiance le gouvernement du sénat et du peuple, à cause des querelles des grands et de la cupidité des magistrats, et qui attendaient peu de secours des lois, impuissantes...þ
ÇáÕÝÍÉ 182 - Être Romain, ce fut appartenir à la portion civilisée de l'humanité, être membre d'une société qui possédait toutes les connaissances, toutes les commodités de la vie matérielle. Romain et barbare furent deux termes d'une corrélation exacte, qui eurent une signification identique depuis Bosra où l'Arabe pacifié balbutiait le latin, jusqu'aux cabanes des Calédoniens et des Pietés.þ

ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ