Histoire de l'Italie 1789-1863, ÇáãÌáÏ 1Typographie de Gaittet, 1863 |
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
actes armée armes arriva assez Autrichiens avaient avant c'était canon capitulation cause cents chargé Charles-Albert chef cinq citoyens combat commandant composait comte conseil considérable corps côté coup cour cris Croates déclara demanda dernier devait diriger donner ennemis Etats étrangers faisait Ferdinand forces former forte foule garde garde civique général gouvernement guerre habitants heures hommes insurgés italienne jours l'armée l'autre l'Autriche l'ennemi l'Italie laisser libéraux liberté livrer Lombardie lutte main malheureux Manin marche mars ment mettre Milan milieu militaire mille hommes mort mouvement n'avait n'était Naples nationale nouveau nouvelle ordres organisée Palerme Pape passé pays pendant peuple place police porte pouvait pouvoir première prince pris proclamation provinces provisoire Puissances qu'une Radetzki réformes république résistance reste retraite révolution Rome royaume rues s'était semblait sentait sera seul Sicile soldats sorte soulèvement suivante sujets tard tête tion Toscane traité troupes trouva venait Venise ville Vive volontaires voulait voulut
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 143 - Celui-là se tromperait grandement qui verrait autre chose dans les fonctions que vous allez remplir... Celui-là se tromperait grandement qui verrait, dans la consulte d'Etat que je viens de créer, la réalisation de ses propres utopies et le germe d'une institution incompatible avec la souveraineté pontificale.þ
ÇáÕÝÍÉ 306 - A midi, on communiqua aux défenseurs de l'Italie la proclamation suivante : « Soldats ! « La sainte cause de l'Italie va se décider dans les champs de la Lombardie. Déjà les habitants de Milan ont acheté leur liberté au prix de leur sang et avec un héroïsme dont l'histoire offre peu d'exemples. L'armée sarde est en marche sous les ordres de son roi magnanime et de ses princes. « Enfants de l'Italie, héritiers de la gloire militaire de leurs ancêtres, les Toscans ne doivent pas, ne peuvent...þ
ÇáÕÝÍÉ 94 - S'il arrivoit cependant que, dans leur mission toute pacifique, les troupes, exécutant les ordres de leur souverain, rencontrassent une résistance coupable , et que quelques factieux osassent commencer une guerre civile , aussi insensée dans son but que fatale dans ses résultats , le soussigné ne fait nulle difficulté de déclarer que ces hommes seraient considérés comme les plus dangereux ennemis de la paix générale par le gouvernement français...þ
ÇáÕÝÍÉ 256 - Somme toute, le gouvernement était sagement et habilement composé. L'acclamation populaire le confirma. Pie IX lui-même, comme pour répondre à la voix de son représentant, envoya sa bénédiction à la nouvelle république. Cette pièce était signée de sa main : « Que Dieu, disait-il, bénisse Venise, en la délivrant des maux qu'elle craint, et que, dans les ressources infinies de sa toute-puissance, il daigne conserver à son peuple le bonheur qu'il mérite. » Ainsi, dans des conditions...þ
ÇáÕÝÍÉ 166 - L'unique religion dominante de l'État sera la religion catholique, apostolique, romaine, et aucun autre culte ne sera toléré. La personne du roi sera toujours sacrée, inviolable, et non sujette à responsabilité. Les ministres seront toujours responsables de tous les actes du gouvernement. Les forces de terre et de mer seront toujours dépendantes du roi. La garde nationale sera organisée dans tout le royaume sur un mode uniforme et analogue à celle de la capitale.þ
ÇáÕÝÍÉ 313 - Appelé par ceux de vos concitoyens entre les mains desquels une confiance bien méritée a remis la direction temporaire de la chose publique, et surtout visiblement poussé par La main de Dieu , qui, pardonnant les anciennes fautes de l'Italie en considération de ses malheurs, veut ranimer en elle une nouvelle vie glorieuse, j'arrive parmi vous à la tête de mon armée, suivant ainsi les aspirations les plus intimes de mon cœur.þ
ÇáÕÝÍÉ 166 - ... de la capitale. La presse sera libre et sujette seulement à une loi répressive pour tout ce qui peut offenser la religion, la morale, l'ordre public, le roi, la famille royale, les souverains étrangers et leurs familles, ainsi que l'honneur et les intérêts des particuliers.þ
ÇáÕÝÍÉ 291 - Nous seconderons vos justes désirs, confiant dans le secours de ce Dieu qui est visiblement avec nous, de ce Dieu qui donna Pie IX à l'Italie, de ce Dieu qui, par une si merveilleuse impulsion, placa l'Italie dans un état à pouvoir se suffire à elle-même.þ
ÇáÕÝÍÉ 165 - ... de présenter à notre approbation, dans un délai qui ne devra pas excéder dix jours, un projet sur les bases suivantes : Le pouvoir législatif sera exercé par nous et par deux chambres , à savoir une chambre des pairs et une chambre des députés. Les membres de la première chambre seront nommés par nous ; les députés seront nommés par des électeurs sur les bases d'un cens qui sera fixé.þ
ÇáÕÝÍÉ 112 - Ramorino avait perdu toute foi dans le succès. 11 déclara sans détour à ses compagnons que la tentative était, pour le moment, avortée, et qu'on n'avait plus qu'à regagner la frontière. Le corps fut dissous. Cette expédition, si déplorable par la complète inanité de ses résultais, fut suivie de récriminations non moins déplorables, ainsi qu'il arrive toujours dans les entreprises avortées.þ