Le Correspondant, ÇáãÌáÏ 37

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Charles Douniol, 1856
 

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ÇáÕÝÍÉ 581 - Je n'entends pas que vous soumettiez votre créance à moi sans raison, et ne prétends pas vous assujettir avec tyrannie. Je ne prétends pas aussi vous rendre raison de toutes choses; et pour accorder ces contrariétés j'entends vous faire voir clairement, par des preuves convaincantes, des marques divines en moi, qui vous convainquent de ce que je suis et m'attirent...þ
ÇáÕÝÍÉ 429 - Dubos ont fait chacun un système, dont l'un semble être une conjuration contre le tiersétat, et l'autre une conjuration contre la noblesse. Lorsque le Soleil donna à Phaéton son char à conduire, il lui dit : « Si vous montez » trop haut, vous brûlerez la demeure céleste ; » si vous descendez trop bas, vous réduirez en »cendres la terre. N'allez point trop à droite, » vous tomberiez dans la constellation du sergent; n'allez point trop à gauche, vous iriez » dans celle de l'autel :...þ
ÇáÕÝÍÉ 241 - ... représenter cette grande époque. Mais dans l'histoire des lettres j'étudie surtout la civilisation dont elles sont la fleur, et dans la civilisation j'aperçois principalement l'ouvrage du christianisme. Toute la pensée de mon livre est donc de montrer comment le christianisme sut tirer, des ruines romaines et des tribus campées sur ces ruines, une société nouvelle, capable de posséder le vrai, de faire le bien et de trouver le beau.þ
ÇáÕÝÍÉ 244 - dant c'est ici que nous altérons nos santés, c'est ici que nous usons » nos forces ; je ne m'en plains pas : notre vie vous appartient, nous » vous la devons jusqu'au dernier souffle , et vous l'aurez. Quant à » moi, Messieurs, si je meurs, ce sera à votre service!þ
ÇáÕÝÍÉ 29 - ... servir de fondement à un ouvrage longtemps rêvé. Voilà cependant que je suis pris d'un mal grave, opiniâtre, et d'autant plus dangereux qu'il cache probablement un épuisement complet. Faut-il donc quitter tous ces biens que vous-même, Seigneur, m'avez donnés? Ne voulez-vous point vous contenter d'une partie du sacrifice'?þ
ÇáÕÝÍÉ 848 - Roi d'Angleterre, parce qu'il n'est en la puissance de prince du monde de lever impôt à son plaisir sur le peuple, non plus que de prendre le bien dþ
ÇáÕÝÍÉ 371 - Tenons tête au scepticisme comme au fanatisme, à ceux qui professent l'indifférence en matière politique, comme à ceux qui prêchent la proscription de toute garantie et de toute indépendance. Au-dessous de notre foi aux vérités divines et à l'autorité infaillible, gardons aussi la foi aux nobles instincts de notre jeunesse, à ces principes de liberté, de justice et d'honneur qui font seuls ici-bas la force et la dignité du moindre citoyen comme des plus grandes nations. Au milieu des...þ
ÇáÕÝÍÉ 413 - Mais ma joie comme frère ne fait rien à ma gloire comme roi; et, je le répète , si je n'acquiers pas une gloire personnelle, si mon trône n'est pas entouré de considération, mon règne sera peutêtre tranquille par l'effet de la lassitude générale , mais il ne sera pas long, et il sera peut-être plus malheureux que celui de Henri III.þ
ÇáÕÝÍÉ 581 - La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu'il ya une infinité de choses qui la surpassent; elle n'est que faible si elle ne va jusqu'à connaître cela.þ
ÇáÕÝÍÉ 251 - Vierge, il ouvrit les yeux, souleva ses bras, et dit d'une voix forte : « Mon Dieu, mon Dieu, ayez pitié de moi ! » Ce fut sur la terre la dernière parole de cette âme qui en avait eu tant d'éloquentes.þ

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