Histoire universelle, tr. par E. Aroux et P. Léopardi, ÇáãÌáÏ 14

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ÇáÕÝÍÉ 379 - Il ya si loin de la manière dont on vit à celle dont on devrait vivre, que celui qui tient pour réel et pour vrai, ce qui devrait l'être sans doute, mais malheureusement ne l'est pas, court à une ruine inévitable.þ
ÇáÕÝÍÉ 19 - Dans ce cas, soyez conséquents comme Lycurgue; comme lui, partagez les terres entre tous les citoyens; proscrivez à jamais les métaux que la cupidité humaine arracha aux entrailles de la terre. Brûlez même les assignats dont le luxe pourrait aussi s'aider, et que la lutte soit le seul travail de tous les Français.þ
ÇáÕÝÍÉ 113 - Une chose avoyent-ils bonne, c'estoit une gaillarde compagnie, pleine de jeunes gentils-hommes, mais en peu d'obéissance. Ainsi faut conclure que ce voyage fut conduit de Dieu , tant à aller qu'au retourner, car le sens des conducteurs , que j'ay dit , n'y servit de guères. Toutesfois ils pouvoient bien dire qu'ils furent cause de donner grand honneur et grande gloire à leur maistre.þ
ÇáÕÝÍÉ 380 - S'ils deviennent excusables, d'autant qu'ils nous font besoing et que la necessité commune efface leur vraye qualité 7, il faut laisser jouer cette partie ' aux citoyens plus vigoureux et moins craintifs qui sacrifient leur honneur et leur conscience, comme ces autres...þ
ÇáÕÝÍÉ 22 - Aussi la conclusion de mon travail sera celle-ci : le droit romain a été meilleur sous l'époque chrétienne que dans les âges antérieurs les plus brillants ; tout ce qu'on a dit de contraire n'est qu'un paradoxe ou un malentendu. Mais il a été inférieur aux législations modernes, nées à l'ombre du christianisme et mieux pénétrées de son esprit.þ
ÇáÕÝÍÉ 78 - Juger et raconter à la fois ; manifester tous les dons de l'imagination dans la peinture exacte de la vérité ; se plaire à tout ce qui a de la vie et du mouvement ; laisser au lecteur, comme à soi-même, son libre arbitre pour blâmer et approuver ; allier une sorte de douce ironie à une impartiale bienveillance, tels sont les traits principaux de la narration française.þ
ÇáÕÝÍÉ 19 - Grèce, dans d'étroites limites, doivent l'être rigoureusement et sans modification à la République française ? Voulez-vous lui créer un gouvernement austère, pauvre et guerrier comme celui de Sparte ? « Dans ce cas, soyez conséquents comme Lycurgue ; comme lui, partagez les terres entre tous les citoyens ; proscrivez à jamais les métaux que la cupidité humaine...þ
ÇáÕÝÍÉ 99 - Les Guelfes ces partisans de la papauté, ET ENCORE PLUS DE LA LIBERTÉ, balancèrent toujours le pouvoir des Gibelins, partisans de l'empire. Les divisions entre Frédéric et le Saint-Siège N'EURENT JAMAIS LA RELIGION POUR OBJET*.þ
ÇáÕÝÍÉ 91 - Maximilien , qui , à l'âge de trente-quatre ans, avait hérité, par son père, de l'Autriche, de la Styrie, de la Carinthie et de la Carniole ; par Sigismond , son cousin, des possessions de l'autre branche autrichienne, savoir : le Tyrol, la Souabe, l'Alsace; enfin par son mariage, de la Bourgogne, du Brisgau et du Sundgau, qu'il céda ensuite à son fils Philippe, lequel atteignait à peine sa seizième année.þ
ÇáÕÝÍÉ 179 - Les tombeaux même ne furent pas respectés, et un anneau d'or fut arraché du doigt de Jules II. Les luthériens se faisaient une joie de fouler aux pieds les choses sacrées , et de détruire l'idolâtrie des tableaux et des statues. Le cardinal d'Araceli, qu'ils mirent vivant dans un cercueil, et dont ils célébrèrent les obsèques avec dérision, fut promené par eux dans les rues de Rome; ils s'enivrèrent dans son palais, du vin dont ils remplissaient les calices ; puis ils l'envoyèrent,...þ

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