Histoire de la philosophie morale et politique: dans l'antiquité et les temps modernes, ÇáãÌáÏ 2 |
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absolu actes actions appelle assez besoin c'est-à-dire cause chercher chose citoyens civil commun condition conscience consentement conséquent considérer contraire contrat Contrat social corps despotisme devoir Dieu différence dire dit-il divine doctrine doit donne doute effet également elle-même enfin esprit établi Etat évident fondement force forme général gouvernement guerre Hobbes hommes humaine Ibid idées juge juste justice Kant l'autre l'esprit l'état l'homme l'ordre l'un législateur légitime liberté libre lieu limites livre lois lui-même magistrat maître ment monarchie Montesquieu morale moyen n'en nature naturel nécessaire objet parle particulier passions peine pensée personne peuple peuvent philosophie politique porte pouvoir premier prince principe propre propriété public puissance puisse punir qu'à qu'une question raison rapport règle république résistance reste rien rois Rousseau s'il saint science second sens sentiment serait seul siècle social société sorte souverain souveraineté Suarez sujets suppose théorie tion traité trouve tyran vérité vertu veut voit volonté vrai
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ÇáÕÝÍÉ 471 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.þ
ÇáÕÝÍÉ 389 - Il n'ya point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire : car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge pourrait avoir la force d'un oppresseur.þ
ÇáÕÝÍÉ 175 - Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fît à toi-même (1 ). » On peut renoncer à ses droits de deux manières : ou par simple renonciation, ou par translation.þ
ÇáÕÝÍÉ 497 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle (1).þ
ÇáÕÝÍÉ 343 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.þ
ÇáÕÝÍÉ 344 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré, à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur, au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs ; elles doivent se rapporter au...þ
ÇáÕÝÍÉ 403 - On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir.þ
ÇáÕÝÍÉ 494 - La souveraineté ne peut être représentée , par la même raison qu'elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point : elle est la même , ou elle est autre ; il n'ya point de milieu.þ
ÇáÕÝÍÉ 344 - ... relatives au physique du pays; au climat glacé, brûlant ou tempéré ; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur; au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs ; elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir ; à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs, à leurs manières.þ
ÇáÕÝÍÉ 368 - Les politiques Grecs qui vivaient dans le gouvernement populaire, ne reconnaissaient d'autre force qui pût le soutenir, que celle de la vertu. Ceux d'aujourd'hui ne nous parlent que de manufactures, de commerce, de finances, de richesses et de luxe même.þ