...Pelaudé à toutes mains, dit Mon« taigne, aux Gibelins j'estais Guelfe, aux Guel« fes Gibelin. » Mon peu de goût pour la monarchie absolue, ne me...laissait aucune illusion sur le parti que je prenais : je nourrissais des scrupules, et bien que résolu de me sacrifier à l'honneur, je voulus avoir sur...

...parfaitement que l'émigration était une folie et une sottise.... Mon peu de goût pour la monarchie ahsolue ne me laissait aucune illusion sur le parti que je...conduite qui se raconte ainsi elle-même, et ce jugement superhe en finit d'un coup avec toute la grandeur de la question morale. Et pourquoi M. de Chateauhriand...

...ton ( appelons les choses par leur nom ) d'incomparable fatuité avec lequel il en rend compte : a Je revenais , dit-il , en courant , pourfendre la...quatre phrases comme cela, c'en est fait : je vous 25 délie de prendre le moindre intérêt à une conduite qui se raconte ainsi elle-même , et ce jugement...

...la patrie Je sentais parque l'émigration était une loin: et une sottise . . . . Mon peu de goûl pour la monarchie absolue ne me laissait aucune illusion sur le parti que je prenais. 3n ^cr $M teilte et bie dnurtbeile feiner êtanbeegenoffen mebr, alé er $ugeben »ill: поф fpâter,...

...tort à l'émigration, il prétend l'avoir toujours condamnée. « Je sentais parfaitement, dit-il, que l'émigration était une folie et une sottise......laissait aucune illusion sur le parti que je prenais. » II était donc revenu d'Amérique et s'était marié pour aller porter les armes contre son pays...

...il revoit à Paris M. de Malesherbes et lui soumet ses scrupules sur l'émigration. Car, dit-il, « mon peu de goût pour la monarchie absolue ne me laissait aucune illusion sur le parti que je prenais. » M. de Malesherbes répond à ses objections. « II me cita des exemples embarrassants. Il me présenta...

...zèle, dit-il, surpassait ma foi; je sentais « que l'émigration était une sottise et une « folie.... Mon peu de goût pour la monarchie « absolue ne me...aucune illusion sur le • ' « parti que je prenais; je nourrissais des scru« pules, et, bien que résolu de me sacrifier à « l'honneur, je voulus avoir...

...aucun enthousiasme ne l'entraînait : Je sentais que l'émigration était une sottise et une folie... Mon peu de goût pour la monarchie absolue ne me laissait aucune illusion sur le parti que je prenais ; je nourrissais des scrupules, et, bien que résolu de me sacrifier à l'honneur, je voulus avoir...

...il IK it à Paris M. de Malesherbes et lui soumet ses scrupules sur l'émigration. Car, dit-il, « mon peu de goût pour la monarchie absolue ne me laissait aucune illusion sur le parti que je prenais ». M. de Malesherbes répond à ses objections. « II me cita des exemples embarrassants. Il me présenta...