Histoire-musée de la République française depuis l'Assemblée des notables jusqu'à l'Empire, ÇáãÌáÏ 2G. Havard, 1858 - 4 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 465 - Tout ce qui peut contribuer au bien de la Patrie est essentiellement lié à mon bonheur. J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.þ
ÇáÕÝÍÉ 89 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.þ
ÇáÕÝÍÉ 315 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance...þ
ÇáÕÝÍÉ 89 - Les obligations de chacun envers la société consistent à la défendre, à la servir, à vivre soumis aux lois, et à respecter 'ceux qui en sont les organes. 4. Nul n'est bon citoyen s'il n'est bon fils, bon père, bon frère, bon ami, bon époux.þ
ÇáÕÝÍÉ 196 - Soldats ! le gouvernement veille sur le dépôt des lois, qui lui est confié. Les royalistes, dès l'instant qu'ils se montreront, auront vécu. Soyez sans inquiétude, et jurons par les mânes des héros qui sont morts à côté de nous pour la liberté, jurons sur nos nouveaui drapeaux : « Guerre implacable aux ennemis de la République et de la Constitution de l'an III ! » La fête fut suivie d'un grand banquet, où de nombreux toasts furent portés au milieu d'une exaltation croissante.þ
ÇáÕÝÍÉ 395 - L'intérêt de ma gloire et celui de mon bonheur sembleraient avoir marqué le terme de ma vie publique , au moment où la paix du monde est proclamée.þ
ÇáÕÝÍÉ 459 - J'ai fait arrêter et juger le Duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt, et à l'honneur du peuple Français, lorsque le Comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance j'agirais encore de même.þ
ÇáÕÝÍÉ 388 - ... vous que le dieu de la paix est aussi le dieu des armées et qu'il combat avec ceux qui défendent l'indépendance et la liberté de la France. Citoyens qui professez les religions protestantes, la loi a également étendu sur vous sa sollicitude. Que cette morale commune à tous les chrétiens, cette morale si sainte, si pure, si fraternelle, les unisse tous dans...þ
ÇáÕÝÍÉ 391 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au...þ
ÇáÕÝÍÉ 403 - ... l'égalité , la prospérité de la France seront à l'abri des caprices du sort et de l'incertitude de l'avenir. Le meilleur des peuples sera le plus heureux, comme il est le plus digne de l'être, et sa félicité contribuera à celle de l'Europe entière.þ