Ephémérides politiques, littéraires et religieuses, présentant pour chacun des jours de l'année: un tableau des événemens remarquables qui datent de ce même jour dans l'histoire de tous les siècles et de tous les pays, jusqu'au 1er. janvier 1812, المجلد 3Le Normant, 1812 |
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11 octobre 14 septembre alloit armée ARTS auroit avoient avoit ayant bataille c'étoit cardinal cardinal de Richelieu cavalerie célèbre cent Charles Charles-Quint Clément VII combat comte connoissance corps couronne d'Angleterre d'Espagne devoit Dieu disoit Dom Juan donna duc d'Orléans empereur enfans ennemis ensuite envoya Etats étoient étoit évêque faisoit femme fils flotte foible foiblesse française François Ier frère général gloire Grecs guerre habitans Henri Henri III Henri IV HISTOIRE RELIGIEUSE Jean jésuites jour l'abbé de Choisy l'Académie L'an l'armée l'Eglise l'empereur l'empire laissa LITTÉRATURE livres long-tems Louis XIV madame madame de Maintenon maître maréchal ment mille hommes ministre monarque mort mourut n'avoient n'avoit octobre ouvrages paix pape passa père Perron Perses peuple Philippe pouvoit premier prince prison prit Prusse Regnard reine Richelieu Rome royaume saint SCIENCES secours Séjan septembre seroit seul siége soldats succès tems tête Thémistocle tion trône troupes Turcs vaisseaux venoit victoire vouloit voulut
مقاطع مشهورة
الصفحة 9 - J'ai trop aimé la guerre: ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites. Prenez conseil en toutes choses, et cherchez à connaître le meilleur, pour le suivre toujours. Soulagez vos peuples le plus tôt que vous pourrez, et faites ce que j'ai eu le malheur de ne pouvoir faire moi-même.
الصفحة 49 - L'autre moitié resta dans les plaines de Mars. Il dispersa partout ses membres et sa gloire. Tout abattu qu'il fut, il demeura vainqueur. Son sang fut en cent lieux le prix de sa victoire Et Mars ne lui laissa rien d'entier que le cœur.
الصفحة 196 - L'absence ni le temps ne m'en sauraient guérir, Et je ne vois plus rien qui me pût secourir, Ni qui sût rappeler ma liberté bannie. Dès longtemps je connais sa rigueur infinie ; Mais pensant aux beautés pour qui je dois périr, Je bénis mon martyre, et content de mourir, Je n'ose murmurer contre sa tyrannie. Quelquefois ma raison par de faibles discours M'incite à la révolte et me promet secours...
الصفحة 143 - Le ciel à les former se prépare longtemps. Tel fut cet empereur • sous qui Rome adorée Vit renaître les jours de Saturne et de Rhée ; Qui rendit de son joug l'univers amoureux ; Qu'on n'alla jamais voir sans revenir heureux ; Qui soupirait le soir, si sa main fortunée N'avait par ses bienfaits signalé la journée.
الصفحة 9 - Ce que je vous recommande plus fortement est de n'oublier jamais les obligations que vous avez à Dieu. Souvenez-vous que vous lui devez tout ce que vous êtes. Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. J'ai trop aimé la guerre; ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites.
الصفحة 69 - L'un meurt vide de sang , l'autre plein de séné : Le rhume à son aspect se change en pleurésie , Et par lui la migraine est bientôt frénésie. Il quitte enfin la ville, en tous lieux détesté. De tous ses amis morts un seul ami resté Le mène en sa maison de superbe structure. C'étoit un riche abbé, fou de l'architecture. Le médecin d'abord semble né dans cet art, Déjà de bâtiments parle comme Mansard...
الصفحة 37 - Caumartin porte en son cerveau De son temps l'histoire vivante; Caumartin est toujours nouveau A mon oreille qu'il enchante; Car dans sa tête sont écrits Et tous les faits et tous les dits Des grands hommes, des beaux esprits, Mille charmantes bagatelles, Des chansons vieilles et nouvelles , Et les annales immortelles Des ridicules de Paris.
الصفحة 14 - ... et observant avec son épouse tous les dehors de la bienséance; bon père, bon maître, toujours décent en public, laborieux dans le cabinet, exact dans les affaires, pensant juste, parlant bien, et aimable avec dignité.
الصفحة 9 - Mon cher enfant, je vous donne de tout mon cœur ma bénédiction ; et il l'embrassa ensuite deux fois avec de grandes marques d'attendrissement. La duchesse de Ventadour, voyant le roi s'attendrir, emporta le Dauphin. Le roi fit entrer successivement les princes et les princesses du sang, leur parla à tous ; mais séparément au duc d'Orléans et aux légitimés, qu'il fit venir les premiers.
الصفحة 29 - le vrai, mon cousin, poursuivit-il en se tournant « vers le duc de Mayenne, je vais un peu vite « pour vous.