Histoire de la vie et des ouvrages de Voltaire: suivie des jugemens qu'ont portés de cet homme célèbre divers auteurs estimés; par L. Paillet-de-Warcy, ÇáãÌáÏ 1;ÇáãÌáÏ 9 |
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ÇáÕÝÍÉ 147 - ... paroisse. Comme j'aime passionnément à être le maître, j'ai jeté par terre toute l'église, pour répondre aux plaintes d'en avoir abattu la moitié. J'ai pris les cloches, l'autel, les confessionnaux, les fonts baptismaux ; j'ai envoyé mes paroissiens entendre la messe à une lieue. Le lieutenant criminel, le procureur...þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - Il a paru d'abord avoir quelque peine à les reconnaître. M. de Villette les lui ayant annoncés une seconde fois, il répondit sans aucune impatience : Assurez ces messieurs de mes respects. A la prière de M. de Villette, M. de Saint-Sulpice s'étant approché du chevet de son lit, le mourant étendit son bras autour de sa tête comme pour l'embrasser. Dans cette attitude, M. de SaintSulpice lui adressa quelques exhortations, et finit par le conjurer de rendre encore témoignage à la vérité...þ
ÇáÕÝÍÉ 410 - J'avais autrefois un père qui était grondeur comme Grichard*; un jour, après avoir horriblement et très mal à propos grondé son jardinier, et après l'avoir presque battu, il lui dit : « Va-t'en, coquin; je souhaite que tu trouves un maître aussi patient que moi...þ
ÇáÕÝÍÉ 196 - Souvenez-vous, je vous prie, du père Tournemine votre nourrice (vous avez sucé chez lui le doux lait des Muses), et réconciliez-vous avec uu ordre qui a porté, et qui, le siècle passé, a fourni à la France des hommes du plus grand mérite.þ
ÇáÕÝÍÉ 220 - Pensez-y bien, livres qui faisaient autrefois tant de conversions , de petits livres philosophiques qu'on a soin de répandre partout adroitement. Ces petits livres se succèdent rapidement les uns aux autres. On ne les vend point, on les donne à des personnes affidées qui les distribuent à des jeunes gens et à des femmes. Tantôt c'est le Sermon des cinquante, qu'on attribue au roi de Prusse; tantôt c'est un Extrait du testament de ce malheureux curé Jean Meslier, qui demanda pardon à Dieu...þ
ÇáÕÝÍÉ 360 - Dieu dispose de moi , je meurs dans la sainte religion catholique où je suis né, espérant de la miséricorde divine qu'elle daignera pardonner toutes mes fautes , et que , si j'avais jamais scandalisé l'Eglise , j'en demande pardon à Dieu et à elle.þ
ÇáÕÝÍÉ 111 - Je les reçus avec tendresse ; Je vous les rends avec douleur ; C'est ainsi qu'un amant, dans son extrême ardeur 1, Rend le portrait de sa maîtresse.þ
ÇáÕÝÍÉ 49 - J'ai fait une grande sottise de composer un opéra; mais l'envie de travailler pour un homme comme M. Rameau m'avait emporté. Je ne songeais qu'à son génie , et je ne m'apercevais pas que le mien (si tant est que j'en aie un) n'est point fait du tout pour le genre lyrique. Aussi je lui mandais, il ya quelque temps, que j'aurais plus tôt fait un poème épique que je n'aurais rempli des canevas.þ
ÇáÕÝÍÉ 170 - Mes anges, si j'avais cent mille hommes, je sais bien ce que je ferais ; mais comme je ne les ai pas , je communierai à Pâques , et vous m'appellerez hypocrite tant que vous voudrez.þ
ÇáÕÝÍÉ 412 - Le mensonge n'est un vice que quand il fait du mal; c'est une très grande vertu, quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours.þ