Oeuvres de La Harpe,...: accompagnées d'une Notice sur sa vie et sur ses ouvrages, ÇáãÌáÏ 13 |
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ÇáÕÝÍÉ 163 - C'est que je le garde : Voilà mon dernier mot." Ce refus effronté Avec un grand scandale au prince est raconté. Il mande auprès de lui le meunier indocile, Presse, flatte, promet ; ce fut peine inutile : Sans-Souci s'obstinait. " Entendez la raison, Sire, je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 164 - II rit, et se tournant vers quelques courtisans : " Ma foi, messieurs, je crois qu'il faut changer nos plans. Voisin, garde ton bien ; j'aime fort ta réplique.þ
ÇáÕÝÍÉ 162 - Frédéric le trouva conforme à ses projets, Et du nom d'un moulin honora son palais. Hélas ! est-ce une loi sur notre pauvre terre Que toujours deux voisins auront entre eux la guerre Que la soif d'envahir...þ
ÇáÕÝÍÉ 239 - Ils sont ensevelis sous la masse pesante Des monts qu'ils entassaient pour attaquer les cieux. Nous avons vu tomber leur chef audacieux Sous une montagne brûlante; Jupiter l'a contraint de vomir à nos yeux Les restes enflammés de sa rage expirante; Jupiter est victorieux , Et tout cède à l'effort de sa main foudroyante.þ
ÇáÕÝÍÉ 57 - ... des gens de guerre, des exactions du fisc, de l'avidité de la chicane; il ne respira que pour lui, et son nom est arrivé jusqu'à nous, chargé des bénédictions de tous les âges, comme pour apprendre aux princes que l'amour pour le peuple est la grande et la première vertu des rois.þ
ÇáÕÝÍÉ 162 - J'en citerai pour preuve un trait qui les honore : II est de ce héros, de Frédéric second, Qui, tout roi qu'il était, fut un penseur profond, Redouté de l'Autriche, envié dans Versailles, Cultivant les beaux-arts au sortir des batailles, D'un royaume nouveau la gloire et le soutien, Grand roi, bon philosophe, et fort mauvais chrétien.þ
ÇáÕÝÍÉ 80 - Sénèque, dont il a décoré le frontispice de ses divisions. Plus juste, M. de Buffon aurait profité des recherches de ce savant laborieux. Ils vécurent ennemis, parce que chacun regarda l'autre comme pouvant porter quelque atteinte à sa gloire. Aujourd'hui que l'on voit combien ces craintes étaient vaines, qu'il me soit permis, à moi leur admirateur et leur panégyriste, de rapprocher, de réconcilier ici leurs noms, sûr qu'ils ne me désavoueraient pas euxmêmes s'ils pouvaient être rendus...þ
ÇáÕÝÍÉ 46 - La critique la plus mordante de mes ouvrages et de mes talents m'eût laissé calme et sans humeur. Vingt lignes de plates exagérations sur mon style et mon éloquence, en me dévoilant mieux votre bassesse, ne m'ont rendu que plus sévère pour vos perfides insinuations. Retirez vos éloges bien gratuits; car, sous aucun rapport, je ne saurais vous les rendre ; retirez le pitoyable pardon que vous m'avez demandé; reprenez jusqu'à l'insolente estime que vous osez me témoigner ; allez porter vos...þ
ÇáÕÝÍÉ 45 - Pour vous , monsieur , qui, en calomniant mes intentions et mes motifs, m'avez forcé de vous traiter avec une dureté que la nature n'a mise ni dans mon esprit , ni dans mon cœur ; vous que je ne provoquai jamais, avec qui la guerre ne pouvait être ni utile, ni honorable...þ
ÇáÕÝÍÉ 162 - D'y vivre au jour le jour, exempt d'inquiétude ; Et de quelque côté que vînt souffler le vent, II y tournait son aile, et s'endormait content. Fort bien achalandé, grâce à son caractère...þ