Revue des deux mondes, ÇáãÌáÏ 6

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Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1850
 

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ÇáÕÝÍÉ 486 - Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée, les villes et la campagne se dépeuplent ; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers.þ
ÇáÕÝÍÉ 856 - Dans ce système, l'administration civile et financière d'une localité est livrée à l'arbitraire d'un seul homme, c'est-à-dire, quelquefois à la main de fer des passions les plus violentes et les plus cupides, car si ce fermier n'est pas bon, il n'aura d'autre soin que son propre avantage.þ
ÇáÕÝÍÉ 766 - Paris ne séparera pas sa cause de la cause du peuple qui souffre, attend, et réclame d'une extrémité à l'autre du pays. Si l'anarchie travaille au loin, si les influences sociales pervertissent le jugement ou trahissent le vœu des masses dispersées et trompées par l'éloignement, le peuple de Paris se croit et se déclare solidaire des intérêts de toute la nation.þ
ÇáÕÝÍÉ 765 - Quiconque n'est pas décidé à sacrifier son repos, son avenir, sa vie au triomphe de ces idées, quiconque ne sent pas que la société ancienne a péri, et qu'il faut en édifier une nouvelle, ne serait qu'un député tiède et dangereux. Son influence compromettrait la paix de la France. J'ose croire, citoyen coniuiigsairc, que ces pensées sont les vôtres, et qu'elles trouveront en vous un interprète sûr et dévoué.þ
ÇáÕÝÍÉ 402 - Ma mère sait que l'Évangile dit que la femme quittera son père et sa mère pour suivre son mari; elle sait mon amour, et depuis que la porte ne s'ouvre plus pour vous, je n'ai pas versé une larme que ma mère ne l'ait surprise, et qu'une larme, bien vite, n'ait brillé dans ses yeux, en réponse ù la mienne.þ
ÇáÕÝÍÉ 475 - Majesté en mon particulier qu'un repas inutile de mille écus me fait une peine incroyable, et, lorsqu'il est question de millions d'or pour la Pologne, je vendrais tout mon bien, j'engagerais ma femme et mes enfants, et j'irais à pied toute ma vie pour y fournir, s'il était nécessaire.þ
ÇáÕÝÍÉ 483 - En 1683, il y avait déjà près d'un siècle que la France, devançant à cet égard les autres peuples chrétiens, était entrée dans les voies de la société nouvelle qui sépare l'église de l'état, le devoir social des choses de la conscience, et le croyant du citoyen.þ
ÇáÕÝÍÉ 492 - ... encore trop étendus; mais je me suis toujours soumis à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît d'affliger mon royaume , ne me permettent plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui fasse de tout ce qui pouvait m'être le plus sensible.þ
ÇáÕÝÍÉ 483 - Sur ces connaissances générales, je crus, mon fils, que le meilleur moyen pour réduire peu à peu les huguenots de mon royaume était , en premier lieu , de ne les point presser du tout 2 par aucune rigueur nouvelle contre eux, de faire observer...þ
ÇáÕÝÍÉ 487 - France est un état monarchique dans toute l'étendue de • l'expression. Le roi y représente la nation entière, et chaque « particulier ne représente qu'un seul individu envers le roi. Par «conséquent...þ

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