Oeuvres de Montesquieu, ÇáãÌáÏ 2 |
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affaires anciens auteur avantages avoient avoit besoin cause change CHAPITRE Chine choses citoyens civiles commerce conquérant conquête conséquent conservation corps corruption cour crainte crimes despotique différentes dire doit doivent donner effet également enfans Enfin esclaves esprit établi états états despotiques étoient étoit famille femmes fondé font force forme fortune générale gens gouvernemens gouvernement grandeur Grecs guerre hommes jours juger l'autre l'empire l'esprit l'état l'honneur laisse législateur liberté lieu livre lois luxe mæurs magistrats mains maître manière ment mieux modération monarchie monarque monde moyens n'étoit nation nature naturelle nécessaire nobles nombre parler particuliers pays peines père Perses personne petites peuple peuvent porte pouvoir premier prince propre provinces publique puissance puisse punir qu'à qu'un raison rapport règle relatives religion rend république richesses rien Romains Rome s'il sentir seroit servi seul société sorte souvent suit sujet terre tion tirer tribunal trouve vertu veut Voyez vrai
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ÇáÕÝÍÉ 179 - L'honneur fait mouvoir toutes les parties du corps politique ; il les lie par son action même, et il se trouve que chacun va au bien commun, croyant aller à ses intérêts particuliers.þ
ÇáÕÝÍÉ 142 - Elles doivent être relatives au physique du pays; au climat glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur; au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou paSteurs; elles doivent se rapporter au...þ
ÇáÕÝÍÉ 160 - Le pouvoir intermédiaire subordonné le plus naturel est celui de la noblesse. Elle entre, en quelque façon, dans l'essence de la monarchie , dont la maxime fondamentale est : « Point de monarque , point de noblesse ; point de noblesse , point de monarque.þ
ÇáÕÝÍÉ 6 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.þ
ÇáÕÝÍÉ 38 - Le droit des gens est naturellement fondé sur ce principe , que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien, et dans la guerre le moins de mal qu'il est possible, sans nuire à leurs véritables intérêts.þ
ÇáÕÝÍÉ 281 - Si vous examinez les formalités de la justice par rapport à la peine qu'a un citoyen à se faire rendre son bien, ou à obtenir satisfaction de quelque outrage, vous en trouverez sans doute trop. Si vous les regardez dans le rapport qu'elles ont avec la liberté et la sûreté des citoyens, vous en trouverez souvent trop peu ; et vous verrez que les peines, les dépenses, les longueurs, les dangers même de la justice, sont le prix que chaque citoyen donne pour sa liberté.þ
ÇáÕÝÍÉ 142 - ... physique du pays; au climat glacé, brûlant ou tempéré ; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur; au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs ; elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir ; à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs, à leurs manières.þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - Nos missionnaires nous parlent du vaste empire de la Chine, comme d'un gouvernement admirable, qui mêle ensemble dans son principe la crainte, l'honneur et la vertu. J'ai donc posé une distinction vaine, lorsque j'ai établi les principes des trois gouvernements. J'ignore ce que c'est que cet honneur dont on parle chez des peuples à qui on ne fait rien faire qu'à coups de bâton'.þ
ÇáÕÝÍÉ 161 - Abolissez dans une monarchie les prérogatives des seigneurs , du clergé , de /la noblesse et des villes ; vous aurez bientôt un état populaire , ou bien un état despotique.þ
ÇáÕÝÍÉ 181 - COMME il faut de la vertu dans une république , et dans une monarchie de l'honneur , il faut de la CRAINTE dans un gouvernement despotique : pour la vertu , elle n'y est point nécessaire , et l'honneur y serait dangereux.þ