...on faisait sa cour à celles de Y Encyclopédie. Nous préférions un mot d'éloges de D'Aleinbert , de Diderot , à la faveur la plus signalée d'un prince. Galanterie , ambition , philoso-. phie , tout était entremêlé et confondu : les prélats quittaient leurs diocèses pour...

...on faisait sa cour à celles de l' Encyclopédie. Nous préférions un mot d'éloge de D'Alcmbert, de Diderot, à la faveur la plus signalée d'un prince....licencieux. On applaudissait à la cour les maximes répufalicaines de Brutus; les monarques se disposaient à embrasser la cause d'un peuple révolté...

...« Jamais on ne vit plus de contraste dans les « opinions, dans les goûts et dans les mœurs. « Galanterie, ambition, philosophie, tout était «...ministères; « les abbés faisaient des vers et des contes li« cencieux. « On parlait d'indépendance dans les camps, « de démocratie chez les nobles, de...

...les grands seigneurs ; il ajoute même ces mots remarquables : « Nous préférions un mot d'éloges de d'Alembert, de Diderot, à la faveur la plus signalée d'un prince. » Pour detruire ce raisonnement , tout spécieux qu'il est , il me suffirait peut-être de faire observer...

...pouvoir. On frondait les puissances de Versailles , et on faisait sa cour à celles de l'Encyclopédie. « Nous préférions un mot d'éloge de d'Alembert, de...philosophie, tout était entremêlé et confondu; les prtlats quittaient leurs diocèses pour briguer des ministères , les abbés faisaient des vers et...

...pouvoir. On frondait les puissances de Versailles, et on faisait sa cour à celles de l'Encyclopédie. « Nous préférions un mot d'éloge de d'Alembert, de Diderot, à la faveur la plus signaléc d'un prince. Galanterie, ambition, philosophie, tout était entremêlé et confondu ; les...

...pouvoir. On frondait les puissances de Versailles, et on faisait sa cour à celles de l'Encyclopédie. Nous préférions un mot d'éloge de d'Alembert ,...applaudissait à la cour les maximes républicaines de Brtttus ; les mo « i narques se disposaient à embrasser la cause d'un peuple révolté contre son...

...pouvoir. On frondait les puissances de Versailles, et on faisait sa cour a celles de l'Encyclopédie. Nous préférions un mot d'éloge de d'Alembert ,...des vers et des contes licencieux. On applaudissait ii la cour les maximes républicaines de Ilrutus; les moniques se disposaient à embrasser la cause...

...pouvoir. On frondait les puissances de Versailles, et on faisait sa cour à celles de l'Encyclopédie. u Nous préférions un mot d'éloge de d'Alembert, de...vers et des contes licencieux. » On applaudissait h la cour les maximes républicaines de 1irultts, les monarques se disposaient à embrasser la cause...

...pouvoir. On frondait les puissances de Versailles , et on faisait sa cour à celles de l'Encyclopédie. Nous préférions un mot d'éloge de d'Alembert ,...applaudissait à la cour les maximes républicaines de lirutus; les monarques se disposaient à embrasser la cause d'un peuple révolté contre son roi ;...