Œuvres Complètes, ÇáãÌáÏ 9

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ÇáÕÝÍÉ 562 - possible> sans choquer ses intérêts; et il en fit un * aristocratique par rapport au civil, et monarchique par rapport au militaire : gouvernement ambigu, qui, n'étant pas soutenu par ses propres forces, ne pouvait subsister que tandis qu'il plairait au monarque, et était entièrement monarchique par conséquent.þ
ÇáÕÝÍÉ 398 - de les exécuter. Il se proposait de décorer Rome, de former une bibliothèque, de faire un corps de droit civil, de dresser une carte de l'empire, de creuser à l'embouchure du Tibre un port capable de recevoir les plus grands vaisseaux, de dessécher les maraisþ
ÇáÕÝÍÉ 590 - salions des crimes de lèse-majesté: mais il faisait mourir arbitrairement tous ceux qui lui déplaisaient , et ce n'était pas à quelques sénateurs qu'il en voulait : il tenait le glaive suspendu sur le sénat. qu'il menaçaitþ
ÇáÕÝÍÉ 306 - dans tous les quartiers. On ferma les portes de la ville, afin que personne ne pût leur échapper; et on exposa sur la tribune aux harangues les têtes qu'ils avaient abattues. Pendant ces proscriptions, qui durèrent plusieurs jours, ils se portèrent à de tels excès, que Cinna même crut devoir les exterminer. Ils furent tous égorgés dans une nuit.þ
ÇáÕÝÍÉ 467 - s'étant enroué à répéter plusieurs fois des morceaux que le peuple avait goûtés, fit trouver bon qu'un esclave récitât les vers, tandis qu'il faisait lui-même les gestes. Il mit d'autant plus de vivacitéþ
ÇáÕÝÍÉ 47 - un million de sujets, dit M. de Montesquieu ', ne peut, sans se détruire lui-même, entretenir plus de dix mille hommes de troupes. . . Il n'enþ
ÇáÕÝÍÉ 563 - pas impossible que les choses qui le deshonorèrent le plus aient été celles qui le servirent le mieux. S'il avait d'abord montré une grande âme, tout le monde seþ
ÇáÕÝÍÉ 426 - porté par les lois. Devenu par ce décret magistrat de la république, il joignit ses troupes à celle des consuls Hirtius et Pansa; et on vit le fils de César, marcher sous les enseignes de ses ennemis au secours d'un des assassinsþ
ÇáÕÝÍÉ 129 - et crurent être libres en effet parce que les Romains les déclaraient tels. Quintius les avait rassurés. Si, conformément aux ordres du sénat, il eut laisse garnison dansþ
ÇáÕÝÍÉ 562 - et la fierté de l'âme qui sont les fondemens du « gouvernement libre. C'est l'indifférence pour le « bien public, la crainte des lois qu'on hait, l'amour « des richesses et la bassesse des sentimens qui sont þ

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