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" Elle rougit en prononçant ces paroles, et, dans le moment d'après, elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous; elle continua de crier et dit qu'on l'emportât, comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras; elle marchait... "
Les Empoisonnements criminels et accidentels - ÇáÕÝÍÉ 299
ÈæÇÓØÉ Paul Brouardel - 1902 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 538
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Oeuvres complètes de Mme. de La Fayette, ÇáãÌáÏ 5

Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1812 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 272
...soutenois pendant qu'on la délaçoit ; elle se plaignoit toujours , et je remarquai qu'elle avoit les larmes aux yeux; j'en fus étonnée et attendrie, car je la connoissois pour la personne du monde la plus patiente. Je lui dis, en lui baisant le bras <;ae je...

Oeuvres complètes de Mesdames de La Fayette, de Tencin et de Fontaines ...

Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1825 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 458
...moment d'après, elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât comme ne pouvant plus se soutenir....les bras; elle marchait à peine , et toute courbée ; on la déshabilla dans un instant , je la soutenais pendant qu'on la délaçait; elle se plaignait...

Collection complete des memoires relatifs a l'histoire de France, depuis le ...

1828 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 918
...moment d'après elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât, comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras : elle marchoit à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant; je la soutenois pendant qu'on...

Collection des mémoires relatifs à l'histoire de France depuis l'avénement ...

1828 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 490
...moment d'après elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât, comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras : elle marchoit à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant; je la soutenois pendant qu'on...

Mémoires de ce qui s'est passeé dans la chrétienté: depuis le commencement ...

Sir William Temple - 1828 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 488
...la soutenois pendant qu'on la délaçoit. Elle se plaignoit toujours, et je remarquai qu'elle avoit les larmes aux yeux. J'en fus étonnée et attendrie, car je la connoissois pour la'personne du monde la plus patiente. Je lui dis en lui baisant les bras, que je...

Œuvres complètes de Mesdames de La Fayette, de Tencin, et de ..., ÇáãÌáÏÇÊ 3-5

Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1832 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 1204
...primes sous les bras ; elle marchait à peine , et toute courbée ; on la déshabilla dans un instant , je la soutenais pendant qu'on la délaçait; elle...yeux ; j'en fus étonnée et attendrie, car je la' connais\ sais pour la personne du monde la plus patiente. Je lui dis, en lui baisant les bras, que...

Nouvelle collection des mémoires pour servir à l'histoire de France: depuis ...

Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1839 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 760
...moment d'après elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât , comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras : elle marchoit à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant; je la soutenois pendant qu'on...

Guizot collection of pamphlets, ÇáãÌáÏ 29

1853 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 906
...moment d'après, elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous; elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât , comme ne pouvant plus se soutenir....les bras; elle marchait à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant, je la soutenais pendant qu'on la délaçait. Elle se plaignait toujours,...

La Philosophie positive: revue, ÇáãÌáÏ 1

1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 508
...à peine et toute cour• bée. On la déshabilla dans un instant. Je la soutenais pendant qu'on i la délaçait. Elle se plaignait toujours, et je remarquai...la personne du monde la plus patiente. Je lui dis, eu lui baisant > le bras que je soutenais, qu'il fallait qu'elle souffrit beaucoup; elle » me dit...

La Philosophie positive: revue, ÇáãÌáÏ 1

1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 548
...moment d'après, elle pâlit > d'une pâleur livide qui nous surprit lous; elle continua de crier et » dit qu'on l'emportât comme ne pouvant plus se soutenir....prîmes sous les bras; elle marchait à peine et toute cour> bée. On la-déshabilla dans un instant. Je la soutenais pendant qu'on » la délaçait. Elle...




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