Elle rougit en prononçant ces paroles, et, dans le moment d'après, elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous; elle continua de crier et dit qu'on l'emportât, comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras; elle marchait... Les Empoisonnements criminels et accidentels - ÇáÕÝÍÉ 299ÈæÇÓØÉ Paul Brouardel - 1902 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 538ÚÑÖ ßÇãá - áãÍÉ Úä åÐÇ ÇáßÊÇÈ
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1812 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 272
...soutenois pendant qu'on la délaçoit ; elle se plaignoit toujours , et je remarquai qu'elle avoit les larmes aux yeux; j'en fus étonnée et attendrie, car je la connoissois pour la personne du monde la plus patiente. Je lui dis, en lui baisant le bras <;ae je... | |
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1825 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 458
...moment d'après, elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât comme ne pouvant plus se soutenir....les bras; elle marchait à peine , et toute courbée ; on la déshabilla dans un instant , je la soutenais pendant qu'on la délaçait; elle se plaignait... | |
| 1828 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 918
...moment d'après elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât, comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras : elle marchoit à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant; je la soutenois pendant qu'on... | |
| 1828 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 490
...moment d'après elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât, comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras : elle marchoit à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant; je la soutenois pendant qu'on... | |
| Sir William Temple - 1828 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 488
...la soutenois pendant qu'on la délaçoit. Elle se plaignoit toujours, et je remarquai qu'elle avoit les larmes aux yeux. J'en fus étonnée et attendrie, car je la connoissois pour la'personne du monde la plus patiente. Je lui dis en lui baisant les bras, que je... | |
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1832 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 1204
...primes sous les bras ; elle marchait à peine , et toute courbée ; on la déshabilla dans un instant , je la soutenais pendant qu'on la délaçait; elle...yeux ; j'en fus étonnée et attendrie, car je la' connais\ sais pour la personne du monde la plus patiente. Je lui dis, en lui baisant les bras, que... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1839 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 760
...moment d'après elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous : elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât , comme ne pouvant plus se soutenir. Nous la prîmes sous les bras : elle marchoit à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant; je la soutenois pendant qu'on... | |
| 1853 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 906
...moment d'après, elle pâlit d'une pâleur livide qui nous surprit tous; elle continua de crier, et dit qu'on l'emportât , comme ne pouvant plus se soutenir....les bras; elle marchait à peine, et toute courbée. On la déshabilla dans un instant, je la soutenais pendant qu'on la délaçait. Elle se plaignait toujours,... | |
| 1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 508
...à peine et toute cour• bée. On la déshabilla dans un instant. Je la soutenais pendant qu'on i la délaçait. Elle se plaignait toujours, et je remarquai...la personne du monde la plus patiente. Je lui dis, eu lui baisant > le bras que je soutenais, qu'il fallait qu'elle souffrit beaucoup; elle » me dit... | |
| 1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 548
...moment d'après, elle pâlit > d'une pâleur livide qui nous surprit lous; elle continua de crier et » dit qu'on l'emportât comme ne pouvant plus se soutenir....prîmes sous les bras; elle marchait à peine et toute cour> bée. On la-déshabilla dans un instant. Je la soutenais pendant qu'on » la délaçait. Elle... | |
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