Histoire des institutions de Moïse, et du peuple hébreu: 1 |
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anciens année appelé arrive assemblées aurait autem avaient avant besoins bonne breux cause cent changer chap chefs choses circonstances citoyens conseil d'autres d'Israël derniers devant Dieu dire doit Dominus donner eaux Égyptiens ejus enfans Enfin établi Exod faisait famille femmes fils fonctions fond force forme général génie Grèce haut Hébreux hommes intérêts Israël j'ai Jéhovah Jérusalem Josèphe Josué jour Juda juge Juifs l'esprit l'état l'homme l'ordre législateur Lévi lévites liberté lieu livre loin lois lui-même mains manière mille Moïse mort mots moyen Moyses n'était nation nature nombre parle parole particulier passer pays peine pensée père personne peuple porte première prince principales prophètes propre public publique qu'un quæ raison rapport reste rien rois s'il sacerdotes sacré sénat sera servir seul siècles sorte suivant sunt super surtout temple terre tête texte tion traite tribus trouve vérité villes Voyez
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ÇáÕÝÍÉ 97 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.þ
ÇáÕÝÍÉ 271 - Un homme vit une couleuvre : Ah ! méchante, dit-il , je m'en vais faire une œuvre Agréable à tout l'univers ! A ces mots l'animal pervers (C'est le serpent que je veux dire, Et non l'homme : on pourroit aisément s'y tromper...þ
ÇáÕÝÍÉ 133 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...þ
ÇáÕÝÍÉ 134 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même; Qu'il doit immoler tout à sa...þ
ÇáÕÝÍÉ 272 - Avaient altérée ; et mes peines Ont pour but son plaisir ainsi que son besoin. Enfin, me voilà vieille; il me laisse en un...þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - Pour qu'un peuple naissant pût goûter les saines maximes de la politique et suivre les règles fondamentales de la raison d'état, il faudrait que l'effet pût devenir la cause ; que l'esprit social, qui doit être l'ouvrage de l'institution, présidât à l'institution même ; et que les hommes fussent avant les lois ce qu'ils doivent devenir par elles.þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - Mais il n'appartient pas à tout homme de faire parler les dieux, ni d'en être cru quand il s'annonce pour être leur interprète. La grande âme du législateur est le vrai miracle qui doit prouver sa mission.þ
ÇáÕÝÍÉ 347 - Au pied du mont Adule, entre mille roseaux *, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux, Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante : Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.þ
ÇáÕÝÍÉ 77 - Tu NE CONVOITERAS POINT la femme de ton prochain; tu ne désireras point la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.þ
ÇáÕÝÍÉ 77 - Tu ne tueras point. Tu ne commettras point d'adultère. Tu ne déroberas point. Tu ne diras point de faux témoignage contre ton prochain. Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain. Tu ne convoiteras point la...þ